L’auteur présumé du cambriolage et du meurtre d’une octogénaire à Saint-Denis est introuvable. Dimanche vers 13 heures, la fille de Solange Rivière a découvert le corps sans vie de sa mère. La victime, 85 ans, aurait été mortellement frappée par le cambrioleur.
Les investigations sur les circonstances dans lesquelles est morte Solange Rivière se poursuivent. Les inspecteurs veulent entendre le suspect, mais en attendant ils recueillent des témoignages et recoupent leurs informations.
Le gendre de la victime a vu, dimanche, en arrivant au domicile de sa belle-mère, un adolescent partir en courant. Il a pu fournir une description détaillée du suspect. Rien ne permet d’affirmer, pour l’instant, que la fuite du jeune homme et la mort de l’octogénaire soient liées. Cependant, depuis, l’ado à disparu.
Surpris pendant le cambriolage
Les inspecteurs de la Sûreté départementale en charge de l’enquête privilégient, toujours, la piste du cambriolage qui aurait dérapé.
Dimanche, vers 13 heures, quand la fille de Solange Rivière, 85 ans, découvre le corps sans vie de sa mère allongée sur son lit dans sa chambre, le crime vient d’avoir lieu.
Les pièces du petit appartement de l’octogénaire sont sans dessus-dessous.
Pour elle, comme pour les policiers dépêchés sur les lieux, aucun doute possible, un voleur a été surpris par la retraitée. Il l’a frappé mortellement à la tête.
Reste à confronter cette théorie à la version de l’auteur présumé quand il sera en garde à vue.
Le gendre de la victime a vu, dimanche, en arrivant au domicile de sa belle-mère, un adolescent partir en courant. Il a pu fournir une description détaillée du suspect. Rien ne permet d’affirmer, pour l’instant, que la fuite du jeune homme et la mort de l’octogénaire soient liées. Cependant, depuis, l’ado à disparu.
Surpris pendant le cambriolage
Les inspecteurs de la Sûreté départementale en charge de l’enquête privilégient, toujours, la piste du cambriolage qui aurait dérapé.
Dimanche, vers 13 heures, quand la fille de Solange Rivière, 85 ans, découvre le corps sans vie de sa mère allongée sur son lit dans sa chambre, le crime vient d’avoir lieu.
Les pièces du petit appartement de l’octogénaire sont sans dessus-dessous.
Pour elle, comme pour les policiers dépêchés sur les lieux, aucun doute possible, un voleur a été surpris par la retraitée. Il l’a frappé mortellement à la tête.
Reste à confronter cette théorie à la version de l’auteur présumé quand il sera en garde à vue.