Les quotas de légine, pour les 7 armements réunionnais, passent de 6000 tonnes à 6300 tonnes pour la campagne 2015/2016. Les stocks de poisson se portent bien et supporteront cette seconde augmentation en deux ans.
La campagne de pêche à la légine 2015/2016 s’ouvre sur les meilleurs auspices. Cap-Bourbon, Pêche-Avenir, la Sapmer et Armas voient leurs autorisations de pêche à la légine réévaluées à la hausse. Ces six armements se partagent l’augmentation de 300 tonnes des quotas.
La Comata est la seule perdante de ce nouveau tour de table : -21 tonnes pour la saison 2015/2016.
Les ressources en or blanc (Ndlr : surnom de la légine) se sont reconstituées. En 2009, les études avaient contraint les armements réunionnais à relâcher la pression de pêche au large de Kerguelen et Crozet. Dès l’an dernier, ils ont tiré le fruit de cet effort, les quotas avaient été augmentés de 200 tonnes. Un an plus tard, les gestionnaires des TAAF (Terre Australe et Antarctique Française) haussent à nouveau le curseur de 300 tonnes (150 à Kerguelen et 150 à Crozet) nous apprend le site Le Marin.
Grâce à la légine, les armements basés à La Réunion réalisent 65 millions de chiffre d’affaire par an. Hors la canne à sucre, c’est ce poisson qui est la première exportation réunionnaise. 300 emplois sont directement liés à cette pêche et 1000 emplois indirectement.
La Comata est la seule perdante de ce nouveau tour de table : -21 tonnes pour la saison 2015/2016.
Les ressources en or blanc (Ndlr : surnom de la légine) se sont reconstituées. En 2009, les études avaient contraint les armements réunionnais à relâcher la pression de pêche au large de Kerguelen et Crozet. Dès l’an dernier, ils ont tiré le fruit de cet effort, les quotas avaient été augmentés de 200 tonnes. Un an plus tard, les gestionnaires des TAAF (Terre Australe et Antarctique Française) haussent à nouveau le curseur de 300 tonnes (150 à Kerguelen et 150 à Crozet) nous apprend le site Le Marin.
Grâce à la légine, les armements basés à La Réunion réalisent 65 millions de chiffre d’affaire par an. Hors la canne à sucre, c’est ce poisson qui est la première exportation réunionnaise. 300 emplois sont directement liés à cette pêche et 1000 emplois indirectement.