Les jurés de la cour d’assises viennent de condamner Jean-Richard Joseph à 18 années de réclusion criminelle. Le 28 Juillet 2012, à Sainte-Marie, vers minuit et demi, il avait tué son beau-fils Ludovic Baguerette de 11 coups de couteau.
Difficile de plaider la légitime défense quand le médecin légiste relève 11 coups de couteau sur le corps de la victime. Une posture encore plus inconfortable pour l’avocat de l’accusé quand celui-ci reconnaît qu’il tenait son couteau, caché dans sa poche avant l’arrivée de sa victime.
Ludovic Baguerette, 24 ans, était grand, costaud, impressionnant, mais dans cette triste affaire ce n’est pas lui qui avait déjà un passé criminel.
Jean-Richard Joseph n’est pas un inconnu de la justice et plus particulièrement de la cour d’assises de La Réunion. En 1989, il comparaissait pour avoir tué son beau-frère dans des circonstances similaires et avait été condamné à 2 ans de prison. 36 années, plus tard, il s’est à nouveau assis dans le box des assises de La Réunion pour un meurtre sur fond d’alcool.
L’ivresse une circonstance aggravante
Comme souvent dans ce genre de dossier, Jean-Richard Joseph a voulu obtenir la clémence de la cour en arguant qu’il était ivre au moment des faits et ne se souvenait plus vraiment des circonstances dans lesquelles, il avait tué son beau-fils.
La consommation d’alcool étant une circonstance aggravante et non atténuante, le président du tribunal l’a longuement interrogé sur le sujet. En fin de cette première journée d’audience, l’accusé reconnaissait qu’il avait un problème et qu’il devait se soigner. Le 28 Juillet 2012, il avait été interpellé, quelques heures après son crime, avec un taux d'alcoolémie de plus de 3 gr d'alcool/litre de sang.
Les soins demandés par l’accusé vont débuter derrière les barreaux. Jean-Richard joseph vient d’être condamné à 18 de réclusion criminelle.
Ludovic Baguerette, 24 ans, était grand, costaud, impressionnant, mais dans cette triste affaire ce n’est pas lui qui avait déjà un passé criminel.
Jean-Richard Joseph n’est pas un inconnu de la justice et plus particulièrement de la cour d’assises de La Réunion. En 1989, il comparaissait pour avoir tué son beau-frère dans des circonstances similaires et avait été condamné à 2 ans de prison. 36 années, plus tard, il s’est à nouveau assis dans le box des assises de La Réunion pour un meurtre sur fond d’alcool.
L’ivresse une circonstance aggravante
Comme souvent dans ce genre de dossier, Jean-Richard Joseph a voulu obtenir la clémence de la cour en arguant qu’il était ivre au moment des faits et ne se souvenait plus vraiment des circonstances dans lesquelles, il avait tué son beau-fils.
La consommation d’alcool étant une circonstance aggravante et non atténuante, le président du tribunal l’a longuement interrogé sur le sujet. En fin de cette première journée d’audience, l’accusé reconnaissait qu’il avait un problème et qu’il devait se soigner. Le 28 Juillet 2012, il avait été interpellé, quelques heures après son crime, avec un taux d'alcoolémie de plus de 3 gr d'alcool/litre de sang.
Les soins demandés par l’accusé vont débuter derrière les barreaux. Jean-Richard joseph vient d’être condamné à 18 de réclusion criminelle.