En novembre, une trentaine de personnes étaient jugées dans une affaire d’escroquerie aux crédits automobiles. Au centre du dossier, un homme qui falsifiait des bulletins de salaires et des contrats de travail pour permettre à des personnes modestes de décrocher un financement pour acheter une voiture. Le tribunal correctionnel de Saint-Denis a rendu son jugement hier, vendredi 4 décembre.
Certains prévenus bénéficient d’une relaxe. Les autres écopent de peines allant d’une simple amende à quelques mois de prison. La peine est de 6 à 12 mois ferme, par contre, pour les instigateurs de ce qui est considéré comme étant une escroquerie, et cela même si la majeure partie des crédits avaient été remboursés.
Certains prévenus bénéficient d’une relaxe. Les autres écopent de peines allant d’une simple amende à quelques mois de prison. La peine est de 6 à 12 mois ferme, par contre, pour les instigateurs de ce qui est considéré comme étant une escroquerie, et cela même si la majeure partie des crédits avaient été remboursés.