Un Saint-Louisien de 40 ans a passé la nuit de dimanche à lundi à marcher sur le piton de La Fournaise.
Parti pour une randonnée avec sa compagne, l’homme ne s’est pas rendu compte qu’il marchait trop vite. Au fil des minutes il a perdu sa moitié, mais également les points blancs qui balisent le parcours.
Seul, sans repère, il s’est finalement perdu.
Conscient de sa situation, le randonneur égaré a pris contact avec sa concubine par portable. C’est elle qui va alerter les gendarmes du peloton de haute montagne. Pourtant, malgré l’intervention des secours et le survol de la zone par l’hélicoptère de la gendarmerie l’inquiétude grandit. L’homme ne donne plus signe de vie. En fait, il a perdu son portable…
Lundi dans l’après-midi, un appel du gîte du volcan va rassurer la compagne et les secouristes. Le Saint-Louisien est parvenu à se sortir de ce mauvais pas et de l’enclos à la force du mollet. Il est sain et sauf.
Parti pour une randonnée avec sa compagne, l’homme ne s’est pas rendu compte qu’il marchait trop vite. Au fil des minutes il a perdu sa moitié, mais également les points blancs qui balisent le parcours.
Seul, sans repère, il s’est finalement perdu.
Conscient de sa situation, le randonneur égaré a pris contact avec sa concubine par portable. C’est elle qui va alerter les gendarmes du peloton de haute montagne. Pourtant, malgré l’intervention des secours et le survol de la zone par l’hélicoptère de la gendarmerie l’inquiétude grandit. L’homme ne donne plus signe de vie. En fait, il a perdu son portable…
Lundi dans l’après-midi, un appel du gîte du volcan va rassurer la compagne et les secouristes. Le Saint-Louisien est parvenu à se sortir de ce mauvais pas et de l’enclos à la force du mollet. Il est sain et sauf.