Bénédict Déliron, 65 ans, est jugé pour le meurtre de Prisca Sevaye, le 19 Septembre 2013. Ce matin-là, une dispute aurait éclaté entre l’accusé et sa victime pour une histoire d’argent.
La première session d’assises de l’année 2016 s’ouvre ce lundi 25 Janvier 2016 avec le procès pour meurtre de Bénédict Déliron. Le Portois de 65 ans, ex-vice-président de l’équipe de football de la Rivière-des-Galets, est jugé pour avoir tué sa voisine, Prisca Sevaye, 36 ans, mère de trois enfants, de deux coups de couteau. Le matin du 19 Septembre 2013, le sexagénaire se serait disputé avec elle pour une histoire d’argent. Il affirme qu’il n’avait pas prémédité son passage à l’acte, qu’il a frappé la femme de 36 ans à deux reprises avant de prendre la fuite. Un geste inconscient qu’il regrette…
Meurtre ou coups mortels ?
Cette version des faits pourrait inciter les jurés à suivre la défense vers une requalification de l’accusation de meurtre en coups et blessures mortels ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner. Si Déliron est reconnu coupable de meurtre, il encourt 30 ans de réclusion criminelle, en revanche pour coups mortels la peine est divisée par deux, 15 ans.
Cette requalification risque cependant d’être difficile à obtenir, si les jurés suivent les conclusions du médecin légiste. Selon lui, comme selon les enquêteurs de la criminelle venus effectuer les constations rue Béla-Kun à La Rivière-des-Galets, la thèse des coups mortels et de la fuite ne tiennent pas.
Bénédict Déliron sera fixé sur son sort dans la journée de mardi…
Meurtre ou coups mortels ?
Cette version des faits pourrait inciter les jurés à suivre la défense vers une requalification de l’accusation de meurtre en coups et blessures mortels ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner. Si Déliron est reconnu coupable de meurtre, il encourt 30 ans de réclusion criminelle, en revanche pour coups mortels la peine est divisée par deux, 15 ans.
Cette requalification risque cependant d’être difficile à obtenir, si les jurés suivent les conclusions du médecin légiste. Selon lui, comme selon les enquêteurs de la criminelle venus effectuer les constations rue Béla-Kun à La Rivière-des-Galets, la thèse des coups mortels et de la fuite ne tiennent pas.
Bénédict Déliron sera fixé sur son sort dans la journée de mardi…