L’aéroport de La Réunion accueille de plus en plus de passagers. Ils devraient être 3 millions en 2022, ce qui nécessite de nouveaux équipements. Présentation avec Guillaume Branlat, président de la société aéroportuaire Roland Garros, invité de la matinale sur Réunion La 1ère radio.
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Principale innovation : une aérogare supplémentaire, moins énergivore. Cet espace bioclimatique va bénéficier « des alizés qui soufflent quasiment toute l’année. On va doubler la capacité de l’aérogare en ayant la même consommation énergétique, ce sera une première mondiale » se félicite Guillaume Branlat. La climatisation restera nécessaire dans certains espaces.
Améliorations tous azimuts
Parking ombragé, banques d’enregistrement plus nombreuses, formalités facilitées, tapis de bagages supplémentaires à l’arrivée : les changements tendront vers « plus de confort, plus de qualité de service ». Avec aussi un duty free qui doublera de surface.
En concurrence avec Maurice ?
Guillaume Branlat contourne la question : « Ce sont des territoires qui ont des histoires, des stratégies différentes. » Faut-il attirer les compagnies qui desservent déjà Maurice ? « Le premier travail commence avec les compagnies qui opèrent déjà sur Roland Garros. Evidemment, on regarde aussi d’autres destinations. »
Pas plus cher pour les passagers
Coût de la future aérogare : 80 millions d’€, financés « grâce aux fonds européens et à la Banque Européenne d’Investissement, qui permettent de ne pas augmenter les redevances. » Promesse du président : « Pas d’augmentation de la taxe d’aéroport, au contraire il est très probable qu’elle baisse. »
Améliorations tous azimuts
Parking ombragé, banques d’enregistrement plus nombreuses, formalités facilitées, tapis de bagages supplémentaires à l’arrivée : les changements tendront vers « plus de confort, plus de qualité de service ». Avec aussi un duty free qui doublera de surface.
En concurrence avec Maurice ?
Guillaume Branlat contourne la question : « Ce sont des territoires qui ont des histoires, des stratégies différentes. » Faut-il attirer les compagnies qui desservent déjà Maurice ? « Le premier travail commence avec les compagnies qui opèrent déjà sur Roland Garros. Evidemment, on regarde aussi d’autres destinations. »
Pas plus cher pour les passagers
Coût de la future aérogare : 80 millions d’€, financés « grâce aux fonds européens et à la Banque Européenne d’Investissement, qui permettent de ne pas augmenter les redevances. » Promesse du président : « Pas d’augmentation de la taxe d’aéroport, au contraire il est très probable qu’elle baisse. »