Les négociations entre salariés et direction ont pris fin ce mardi et aucun accord n’a été trouvé. Les salariés refusent de valider le Plan de Sauvegarde de l'Emploi proposé par l'entreprise, qui prévoit de supprimer 36 emplois.
Les négociations sont désormais terminées entre la direction d’ArcelorMittal à La Réunion et les représentants du personnel. A l’issue de cette dernière phase, les parties n’ont pas réussi à trouver un accord quant au Plan de Sauvegarde de l’Emploi proposé par la direction.
Un plan qui prévoit en fait le licenciement de 36 des 86 salariés que compte localement le groupe. Depuis le mois de novembre dernier, les représentants du personnel tentent de faire infléchir la direction. De 40, ils sont parvenus à abaisser à 36 le nombre de licenciements programmés. En décembre, ils avaient également reçu le soutien du président de Région, Didier Robert, et de la députée Huguette Bello.
Grâce à l’intervention de la DIECCTE, une phase de négociation a également pu être obtenue, mais cela n’a pas suffi. Certains salariés étaient même prêts à monter une SCOOP suite à leur licenciement. Une SCOOP que leur ex-employeur aurait normalement dû accompagner. Mais voilà les termes de la rupture de leur contrat et de l’accompagnement prévu n’ont pas convaincus les salariés. Aujourd’hui, ils s’opposent donc à ce PSE.
De son côté, la direction d’ArcelorMittal Réunion justifie ces suppressions d’emplois par la baisse de son chiffre d’affaire. En conséquence, si le Plan de Sauvegarde de l’Emploi qu’elle propose n’aboutit pas, elle affirme devoir fermer l’entreprise.
Désormais, c’est à la DIECCTE de trancher. Elle dispose de 21 jours pour valider ou non le PSE.
Un plan qui prévoit en fait le licenciement de 36 des 86 salariés que compte localement le groupe. Depuis le mois de novembre dernier, les représentants du personnel tentent de faire infléchir la direction. De 40, ils sont parvenus à abaisser à 36 le nombre de licenciements programmés. En décembre, ils avaient également reçu le soutien du président de Région, Didier Robert, et de la députée Huguette Bello.
Grâce à l’intervention de la DIECCTE, une phase de négociation a également pu être obtenue, mais cela n’a pas suffi. Certains salariés étaient même prêts à monter une SCOOP suite à leur licenciement. Une SCOOP que leur ex-employeur aurait normalement dû accompagner. Mais voilà les termes de la rupture de leur contrat et de l’accompagnement prévu n’ont pas convaincus les salariés. Aujourd’hui, ils s’opposent donc à ce PSE.
De son côté, la direction d’ArcelorMittal Réunion justifie ces suppressions d’emplois par la baisse de son chiffre d’affaire. En conséquence, si le Plan de Sauvegarde de l’Emploi qu’elle propose n’aboutit pas, elle affirme devoir fermer l’entreprise.
Désormais, c’est à la DIECCTE de trancher. Elle dispose de 21 jours pour valider ou non le PSE.