Les élus se mobilisent pour que l’état de catastrophe naturelle soit déclaré suite au passage de Berguitta. Dans le Sud et l’Ouest, les dégâts ont été importants et des moyens financiers spécifiques sont nécessaires selon eux.
Plusieurs élus font entendre leur voix au lendemain du passage de la forte tempête tropical Berguitta. Dans le Sud et l’Ouest, habitants et professionnels ont été éprouvés. Les dommages ne sont pas encore évalués mais pourraient bien représenter un montant élevé.
Habitations inondées, routes dégradées ou encore cultures détruites font partie des difficultés recensées. Pour y faire face et soutenir au mieux la population, les maires des communes impactées souhaitent donc demander que l’état de catastrophe naturelle soit décrété. Une démarche soutenue par les députés de La Réunion notamment, ainsi que par le président du Département, Cyrille Melchior. Les syndicats des agriculteurs, la CGPER et la FDSEA notamment, vont également dans ce sens.
Cyrille Melchior a d’ailleurs, a l’occasion d’une visite auprès des sinistrés, déclaré que le Département apporterait sa contribution au titre de la « solidarité territoriale ». Trois aides départementales devraient ainsi être mises en place. La première concernera les routes et devrait se monter à 4 ou 5 millions d’euros, a-t-il annoncé. Sa répartition se fera en fonction des dégâts estimés sur chacune des communes. Pour la seconde, il s’agira d’une intervention sociale d’urgence, c’est-à-dire que les CCAS des communes soumettront au Département des demandes exceptionnelles en fonction des situations. Là, le montant n’est pas encore défini, car il dépendra des possibilités de la collectivité mais aussi des situations des sinistrés.
Enfin, la troisième aide concernera elle les agriculteurs et plus particulièrement les maraîchers, durement éprouvés par le passage de Berguitta. La Chambre d’Agriculture s’associera au département pour évaluer les dégâts et besoins générés par ces fortes intempéries.
A noter, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat invite l’ensemble des entreprises artisanales, qui auraient subi des dégâts et dégradations de leur outil de travail, suite au passage de la tempête tropicale Berguitta, à se rapprocher de ses services. Le Fonds de Calamités et de Catastrophes Naturelles du réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, dont l’objet est de venir en aide aux artisans victimes de tels phénomènes météorologiques, a été mobilisé, informe Bernard Picardo, le président de la Chambre.
Habitations inondées, routes dégradées ou encore cultures détruites font partie des difficultés recensées. Pour y faire face et soutenir au mieux la population, les maires des communes impactées souhaitent donc demander que l’état de catastrophe naturelle soit décrété. Une démarche soutenue par les députés de La Réunion notamment, ainsi que par le président du Département, Cyrille Melchior. Les syndicats des agriculteurs, la CGPER et la FDSEA notamment, vont également dans ce sens.
Cyrille Melchior a d’ailleurs, a l’occasion d’une visite auprès des sinistrés, déclaré que le Département apporterait sa contribution au titre de la « solidarité territoriale ». Trois aides départementales devraient ainsi être mises en place. La première concernera les routes et devrait se monter à 4 ou 5 millions d’euros, a-t-il annoncé. Sa répartition se fera en fonction des dégâts estimés sur chacune des communes. Pour la seconde, il s’agira d’une intervention sociale d’urgence, c’est-à-dire que les CCAS des communes soumettront au Département des demandes exceptionnelles en fonction des situations. Là, le montant n’est pas encore défini, car il dépendra des possibilités de la collectivité mais aussi des situations des sinistrés.
Enfin, la troisième aide concernera elle les agriculteurs et plus particulièrement les maraîchers, durement éprouvés par le passage de Berguitta. La Chambre d’Agriculture s’associera au département pour évaluer les dégâts et besoins générés par ces fortes intempéries.
A noter, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat invite l’ensemble des entreprises artisanales, qui auraient subi des dégâts et dégradations de leur outil de travail, suite au passage de la tempête tropicale Berguitta, à se rapprocher de ses services. Le Fonds de Calamités et de Catastrophes Naturelles du réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, dont l’objet est de venir en aide aux artisans victimes de tels phénomènes météorologiques, a été mobilisé, informe Bernard Picardo, le président de la Chambre.