Trois braconniers arrêtés en novembre 2016 par les gendarmes pour avoir pêché 81 kg de langoustes dans la réserve marine de l’Etang-Salé étaient jugés, mardi à Saint-Pierre. Ils encourent de lourdes amendes entre autres…
En quelques heures, les trois braconniers étaient parvenus à capturer 81 kilos de langoustes juvéniles et des dizaines de kilos de poissons.
Ce soir-là, les militaires avaient interpellé l’un des trois accusés.
Les écoutes téléphoniques et les investigations menées les jours suivant leur avaient permis d’identifier les deux autres « chasseurs ».
Trois pères de famille déjà connus et déjà condamnés pour des faits similaires.
Délibéré le 30 mai
Mardi, le procureur de la République a requis des amendes de 1150 à 1800 euros d’amende, l’interdiction de pêcher et la confiscation du matériel. L’un des trois hommes étant un pêcheur professionnel ayant obtenu l’autorisation d’exercer son métier dans la réserve, de jour, s’est vu retirer ce laissé passer pour un mois. L’amende est laissée à l’appréciation des juges.
La réserve marine et la Srepen se sont constituées partie civile dans ce dossier. Après avoir rappelé les enjeux écologiques de la réserve, les avocates ont réclamé des sommes importantes au titre des dommages et intérêts et la confiscation du matériel des trois accusés.
Ce soir-là, les militaires avaient interpellé l’un des trois accusés.
Les écoutes téléphoniques et les investigations menées les jours suivant leur avaient permis d’identifier les deux autres « chasseurs ».
Trois pères de famille déjà connus et déjà condamnés pour des faits similaires.
Délibéré le 30 mai
Mardi, le procureur de la République a requis des amendes de 1150 à 1800 euros d’amende, l’interdiction de pêcher et la confiscation du matériel. L’un des trois hommes étant un pêcheur professionnel ayant obtenu l’autorisation d’exercer son métier dans la réserve, de jour, s’est vu retirer ce laissé passer pour un mois. L’amende est laissée à l’appréciation des juges.
La réserve marine et la Srepen se sont constituées partie civile dans ce dossier. Après avoir rappelé les enjeux écologiques de la réserve, les avocates ont réclamé des sommes importantes au titre des dommages et intérêts et la confiscation du matériel des trois accusés.