Déjà 34 chefs de service et chefs de pôle ont proposé leur démission de leurs fonctions administratives pour protester contre l’absence de concertation dans l’élaboration du Plan de retour à l’équilibre présenté demain, par la direction, devant le Copermo.
A la veille du comité interministériel qui doit statuer sur l’avenir du CHU de La Réunion, le personnel de l’établissement se mobilise. A l’appel de la CFDT, une partie a fait grève aujourd’hui. En cette fin d’après-midi, ce sont cette fois 34 médecins qui proposent leur démission.
Chefs de pôle et chefs de service, ils quittent ainsi leurs fonctions administratives pour protester contre le manque de concertation de la part de la direction dans l’élaboration du plan de retour à l’équilibre. Ce plan doit être présenté demain, mercredi 31 janvier, à Paris devant le Copermo.
Une enveloppe de 50 millions d’euros devrait alors être allouée au CHU de La Réunion, mais en contrepartie, la direction propose des mesures d’économie que les syndicats n’acceptent pas. C’est aussi pour dénoncer l’interprétation « mensongère », selon eux, de leur vote lors de la Commission Médicale d’Etablissement du 19 janvier dernier, que les médecins entreprennent une telle action. Ils s’étaient alors prononcer contre ce plan dont ils estimaient que les propositions n’étaient fondées que sur des critères financiers.
Chefs de pôle et chefs de service, ils quittent ainsi leurs fonctions administratives pour protester contre le manque de concertation de la part de la direction dans l’élaboration du plan de retour à l’équilibre. Ce plan doit être présenté demain, mercredi 31 janvier, à Paris devant le Copermo.
Une enveloppe de 50 millions d’euros devrait alors être allouée au CHU de La Réunion, mais en contrepartie, la direction propose des mesures d’économie que les syndicats n’acceptent pas. C’est aussi pour dénoncer l’interprétation « mensongère », selon eux, de leur vote lors de la Commission Médicale d’Etablissement du 19 janvier dernier, que les médecins entreprennent une telle action. Ils s’étaient alors prononcer contre ce plan dont ils estimaient que les propositions n’étaient fondées que sur des critères financiers.