Mercredi, Lionel Calenge, le directeur du CHU, va rencontrer les représentants syndicaux lors du comité technique d'établissement (CTE). L'occasion pour les représentants du personnel de faire le point sur la réduction des effectifs via le dispositif des départs volontaires à la retraite.
Le COPERMO, Comité interministériel de performance et de la modernisation de l'offre des soins, a validé le Plan de Retour à l'Equilibre qui a été présenté, fin janvier 2018 par la direction du CHU Réunion.
Dès le lendemain, les représentants syndicaux découvraient que ce document prévoyait des suppressions de 155 postes et d'une centaine de lits. Depuis, la CFDT, FO et la CFTC sont montés au créneau pour exiger que ces suppressions de postes se fassent dans le cadre de départs volontaires à la retraite, des départs financés par le FIR, Fond d'Intervention Régional.
Quel avenir pour les précaires ?
Les préavis de grève et les premières actions syndicales ont porté leurs fruits. Le 14 février 2018, un Comité Technique d'Etablissement exceptionnel va se réunir. À cette occasion, il sera question de réduction des effectifs, mais sous condition. Les employés, qui le souhaitent, pourront négocier un départ à la retraite anticipé. Une manière pour les représentants du personnel d'amortir, le choc du PRE.
Reste à déterminer combien de personnes répondront favorablement à cette proposition et si le nombre sera suffisant pour respecter les exigences du COPERMO.
Le second point noir de ce CTE concerne les contractuels. Quid de leur avenir ? Et enfin, quel est le chiffrage de ce plan, service par service, hôpital par hôpital...
Dès le lendemain, les représentants syndicaux découvraient que ce document prévoyait des suppressions de 155 postes et d'une centaine de lits. Depuis, la CFDT, FO et la CFTC sont montés au créneau pour exiger que ces suppressions de postes se fassent dans le cadre de départs volontaires à la retraite, des départs financés par le FIR, Fond d'Intervention Régional.
Quel avenir pour les précaires ?
Les préavis de grève et les premières actions syndicales ont porté leurs fruits. Le 14 février 2018, un Comité Technique d'Etablissement exceptionnel va se réunir. À cette occasion, il sera question de réduction des effectifs, mais sous condition. Les employés, qui le souhaitent, pourront négocier un départ à la retraite anticipé. Une manière pour les représentants du personnel d'amortir, le choc du PRE.
Reste à déterminer combien de personnes répondront favorablement à cette proposition et si le nombre sera suffisant pour respecter les exigences du COPERMO.
Le second point noir de ce CTE concerne les contractuels. Quid de leur avenir ? Et enfin, quel est le chiffrage de ce plan, service par service, hôpital par hôpital...