Hier, les deux cousines arrêtées samedi avec 272g de cocaïne ont été mises en examen et placées en détention provisoire pour transport, importation et contrebande de marchandises prohibées.
Le juge d'instruction a mis en examen les deux jeunes passagères interpellées à l’aéroport Roland Garros samedi matin, avec pour chef de mise en examen le transport, l'importation et la contrebande de marchandises prohibées.
Les deux cousines de 18 et 19 ans ont été placées en détention provisoire.
Le juge des libertés a confirmé la mise sous écrous des deux trafiquantes présumées.
Elles avaient été présentées au Parquet à 11h hier matin à l’issue de 96 heures de garde à vue.
Me Ibrahim Akhoun défend l'une des jeunes femmes :
Me Jean-Christophe Molière souligne la misère humaine.
Les jeunes femmes ne se sont pas réellement rendues compte de l'importance des risques qu'elles prenaient soulignent les deux avocats !
Arrêtées alors qu’elles tentaient de faire entrer à La Réunion 272 g de Cocaïne dissimulés dans leurs parties intimes, les deux femmes qui avaient fumé du cannabis avaient attiré l’attention du chien « antistupéfiants » de la Brigade de Surveillance Extérieure des Douanes excité par l’odeur.
Au cours du contrôle qui s’en était suivi, l’une des femmes aurait eu mal au bas-ventre.
Elles avaient alors toutes les deux été conduites à l’hôpital par les douaniers, et c’est au cours de l’examen que ces derniers avaient découvert la cocaïne.
Une enquête a été ouverte afin de trouver le commanditaire de ce trafic.
Les deux femmes interpellées sont soupçonnées d'être les "mules" d’un trafic hebdomadaire mis en place entre la métropole et La Réunion.
La valeur totale de la marchandise est estimée à 20 400 euros selon les services douaniers.
Les deux cousines de 18 et 19 ans ont été placées en détention provisoire.
Le juge des libertés a confirmé la mise sous écrous des deux trafiquantes présumées.
Elles avaient été présentées au Parquet à 11h hier matin à l’issue de 96 heures de garde à vue.
Me Ibrahim Akhoun défend l'une des jeunes femmes :
Elle s'est laissée manipuler. 600 euros plus un séjour de 15 jours dans un hôtel de luxe en contrepartie du transport de la drogue.
Me Jean-Christophe Molière souligne la misère humaine.
On est face à la misère humaine et sociale qui permet à des commanditaires de profiter de personnes fragiles.
Les jeunes femmes ne se sont pas réellement rendues compte de l'importance des risques qu'elles prenaient soulignent les deux avocats !
Arrêtées alors qu’elles tentaient de faire entrer à La Réunion 272 g de Cocaïne dissimulés dans leurs parties intimes, les deux femmes qui avaient fumé du cannabis avaient attiré l’attention du chien « antistupéfiants » de la Brigade de Surveillance Extérieure des Douanes excité par l’odeur.
Au cours du contrôle qui s’en était suivi, l’une des femmes aurait eu mal au bas-ventre.
Elles avaient alors toutes les deux été conduites à l’hôpital par les douaniers, et c’est au cours de l’examen que ces derniers avaient découvert la cocaïne.
Une enquête a été ouverte afin de trouver le commanditaire de ce trafic.
Les deux femmes interpellées sont soupçonnées d'être les "mules" d’un trafic hebdomadaire mis en place entre la métropole et La Réunion.
La valeur totale de la marchandise est estimée à 20 400 euros selon les services douaniers.