Le 13 avril 2020, l'UNICEF a lancé un appel pour la libération des enfants incarcérés dans le monde. Madagascar est, l'un des pays, concerné. 1 052 détenus mineurs ont été comptabilisés sur la Grande île en décembre 2019. Une demande pressante pour éviter qu'ils soient victimes du Covid-19.
Des milliers d'enfants sont détenus dans des prisons insalubres à travers la planète. Souvent, ces pays très pauvres n'ont pas les moyens de mettre en œuvre une politique en faveur des mineurs qui survivent dans les rues. Quand, malheureusement, ils tombent entre les mains des forces de l'ordre pour un énième vol, ils sont incarcérés.
C'est le cas à Madagascar où 1 052 enfants sont en prison. Selon les chiffres de l'UNICEF, 664 d'entre eux ont été jugés, les autres sont en détention préventive. On comptait en décembre 2019, parmi eux, 45 filles écrit Midi-Madagascar.
Le 13 avril 2020 à New-York précise Madagascar-Tribune, lors de son intervention, Henrietta Fore, directrice générale de l’UNICEF : "Des centaines de milliers d’enfants actuellement détenus dans divers pays du monde, font face à un risque important de contracter le Covid-19. Face à une situation quasi-généralisée de surpopulation carcérale, des risques de propagation des maladies en général et du coronavirus en particulier sont à craindre".
Elle rappelle que les droits de l'enfant doivent être protégés et que pour assurer celle-ci : "La meilleure manière de protéger les enfants détenus durant une dangereuse pandémie est d’assurer leur libération en toute sécurité", insiste la directrice générale de l’Unicef.
C'est le cas à Madagascar où 1 052 enfants sont en prison. Selon les chiffres de l'UNICEF, 664 d'entre eux ont été jugés, les autres sont en détention préventive. On comptait en décembre 2019, parmi eux, 45 filles écrit Midi-Madagascar.
Libérer les enfants incarcérés pour les protéger contre le Covid-19
Le 13 avril 2020 à New-York précise Madagascar-Tribune, lors de son intervention, Henrietta Fore, directrice générale de l’UNICEF : "Des centaines de milliers d’enfants actuellement détenus dans divers pays du monde, font face à un risque important de contracter le Covid-19. Face à une situation quasi-généralisée de surpopulation carcérale, des risques de propagation des maladies en général et du coronavirus en particulier sont à craindre".
Elle rappelle que les droits de l'enfant doivent être protégés et que pour assurer celle-ci : "La meilleure manière de protéger les enfants détenus durant une dangereuse pandémie est d’assurer leur libération en toute sécurité", insiste la directrice générale de l’Unicef.