La société portoise Runmasques se lance à son tour dans la fabrication de masques chirurgicaux et FFP2 « made in Réunion ». Alfred Chane Pane, son gérant, annonce une production hebdomadaire de 500 000 masques.
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De l’imprimerie à la fabrication de masques, il n’y avait apparemment qu’un pas à faire. C’est ce qu’explique Alfred Chane-Pane. Le patron d’ICP Roto a décidé de se lancer dans la fabrication de masques chirurgicaux et FFP2 « made in Réunion ».
En tant que chef d’entreprise réunionnais, il explique qu’il était important pour lui de s’impliquer dans la protection des Réunionnais face à la crise du Coronavirus.
D’où cette idée de créer la société Runmasques. L’homme d’affaire a fait l'acquisition de trois lignes de production automatisée pour fabriquer localement ces masques chirurgicaux et FFP2, et permettre ainsi à notre île d’être un peu moins dépendante. Cette production à grande échelle va en effet permettre de sécuriser les stocks dans le département et de faire face en cas de crise sanitaire.
Regardez le reportage de Réunion La 1ère
Au total, ce sont trois millions d’euros qui ont été investi pour les machines et la construction des locaux. La fabrication des premiers masques a démarré la semaine dernière. L’usine est ainsi en train de trouver son rythme de croisière : chaque semaine, ce sont 500 000 masques qui seront fabriqués.
Deux des machines sont dédiées à la fabrication des masques FFP2 et la dernière des masques chirurgicaux. La matière première, les bobines de polypropylène, est, elle importée de Chine, de Turquie ou encore d’Israël.
Les masques seront proposés à la vente dans les enseignes de grande distribution ou encore en pharmacie. Il faudra compter Pour les masques chirurgicaux, il faudra compter 0,35 € pour le masque chirurgical et 1,50 € pour le masque FFP2.
Alfred Chane-Pane annonce avoir recruter du personnel encore actuellement en formation pour partie. Mais à terme, l’usine devrait tourner 24 heures sur 24.
L’entrepreneur n’est pas le seul à avoir pris l’initiative de se lancer dans la production de masques 100% péï. Le groupe Les Flamboyants dirigé par le Dr Gérard d’Abbadie a créé la société Maskareignes et investit 2,5 millions d’euros dans une usine de fabrication de masques chirurgicaux et FFP2, à Saint-Pierre.
En tant que chef d’entreprise réunionnais, il explique qu’il était important pour lui de s’impliquer dans la protection des Réunionnais face à la crise du Coronavirus.
D’où cette idée de créer la société Runmasques. L’homme d’affaire a fait l'acquisition de trois lignes de production automatisée pour fabriquer localement ces masques chirurgicaux et FFP2, et permettre ainsi à notre île d’être un peu moins dépendante. Cette production à grande échelle va en effet permettre de sécuriser les stocks dans le département et de faire face en cas de crise sanitaire.
Regardez le reportage de Réunion La 1ère
Des masques chirurgicaux et FFP2 sont fabriqués à La Réunion
Au total, ce sont trois millions d’euros qui ont été investi pour les machines et la construction des locaux. La fabrication des premiers masques a démarré la semaine dernière. L’usine est ainsi en train de trouver son rythme de croisière : chaque semaine, ce sont 500 000 masques qui seront fabriqués.
Des masques péï, mais à quel prix ?
Deux des machines sont dédiées à la fabrication des masques FFP2 et la dernière des masques chirurgicaux. La matière première, les bobines de polypropylène, est, elle importée de Chine, de Turquie ou encore d’Israël.
Les masques seront proposés à la vente dans les enseignes de grande distribution ou encore en pharmacie. Il faudra compter Pour les masques chirurgicaux, il faudra compter 0,35 € pour le masque chirurgical et 1,50 € pour le masque FFP2.
Alfred Chane-Pane annonce avoir recruter du personnel encore actuellement en formation pour partie. Mais à terme, l’usine devrait tourner 24 heures sur 24.
L’entrepreneur n’est pas le seul à avoir pris l’initiative de se lancer dans la production de masques 100% péï. Le groupe Les Flamboyants dirigé par le Dr Gérard d’Abbadie a créé la société Maskareignes et investit 2,5 millions d’euros dans une usine de fabrication de masques chirurgicaux et FFP2, à Saint-Pierre.