Si le nombre de cas de dengue signalés a diminué durant l’hiver, la menace n’a pas pour autant disparu. La fin de la saison froide pourrait être synonyme de reprise. Des répulsifs sont distribués dans les zones concernées.
Avec 6 538 cas confirmés depuis le début de l’année, l’épidémie de dengue inquiète malgré l’hiver austral. La saison est peu propice à la propagation du virus, la prolifération des moustiques étant généralement ralentie par de plus faibles températures.
Mais l’hiver n’a pas pour autant raison des insectes vecteurs de la dengue. Les autorités ont donc multiplié les opérations de démoustication, de nettoyage et de prévention pour en faire diminuer la population au maximum. Un effort qui se poursuit en cette fin d’hiver.
L’objectif est de prévenir l’apparition de nouveaux cas et limiter le risque de reprise épidémique au retour de l’été.
Mais l’hiver n’a pas pour autant raison des insectes vecteurs de la dengue. Les autorités ont donc multiplié les opérations de démoustication, de nettoyage et de prévention pour en faire diminuer la population au maximum. Un effort qui se poursuit en cette fin d’hiver.
Distribution de répulsifs
Des distributions de répulsifs ont donc débuté en ce mois de septembre dans les zones de circulation de la dengue. Les enfants de 6 mois à 6 ans, les femmes enceintes, les personnes âgées de plus de 75 ans et les personnes malades sont concernées. Des opérations de démoustication de nuit se poursuivent également dans ces mêmes lieux, à savoir La Possession, Saint-Paul, Saint-Pierre, Saint-Louis et la Port.L’objectif est de prévenir l’apparition de nouveaux cas et limiter le risque de reprise épidémique au retour de l’été.