Accidents, interventions chirurgicales, maladies du sang ou cancers, les besoins en produits sanguins sont quotidiens. Régulièrement, des alertes sur les stocks sont lancées pour augmenter la collecte des dons. Des dons suivent ensuite un parcours bien précis avant d’être utilisés.
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Les alertes sur les stocks sont fréquentes. Si d’une manière générale, l’Etablissement Français du Sang parvient à récolter des dons réguliers, il arrive qu’en période de vacances scolaires ou durant les ponts ou fêtes de fin d’année, la collecte s’avère plus difficile. Pour maintenir le niveau de réserve à plus de 1 200 produits disponibles, il faut prélever au moins 120 poches par jour.
Certains groupes peuvent parfois venir à manquer aussi, ainsi des appels aux dons plus spécifiques sont parfois lancés. Pour la semaine du 11 au 18 mai par exemple, les donneurs des groupes O+ et B+ sont prioritairement sollicités.
Reste après à les séparer et les collecter isolément pour les utiliser à bon escient. Les globules blancs doivent par exemples être soustraits car porteurs de certains virus ou à l’origine d’effets secondaires chez le receveur.
Le processus de séparation est accompli par les scientifiques de l’Etablissement Français du Sang et qui ne laisse pas de place à l’erreur.
Michelle Bertil et Jean-Claude Toihir ont pu découvrir les coulisses de l’EFS. Reportage.
Certains groupes peuvent parfois venir à manquer aussi, ainsi des appels aux dons plus spécifiques sont parfois lancés. Pour la semaine du 11 au 18 mai par exemple, les donneurs des groupes O+ et B+ sont prioritairement sollicités.
Les produits issus du sang
Plasma, plaquettes ou globules blancs et rouges composent notre sang. Tous ces produits sanguins ne sont pas destinés aux mêmes usages et pourtant lorsque vous faites un don de sang, ils se retrouvent tous dans une seule et même poche.Reste après à les séparer et les collecter isolément pour les utiliser à bon escient. Les globules blancs doivent par exemples être soustraits car porteurs de certains virus ou à l’origine d’effets secondaires chez le receveur.
Le processus de séparation est accompli par les scientifiques de l’Etablissement Français du Sang et qui ne laisse pas de place à l’erreur.
Michelle Bertil et Jean-Claude Toihir ont pu découvrir les coulisses de l’EFS. Reportage.