Deux affaires de drogue mise au jour lundi et mardi matin. Un événement inquiétant pour à la Réunion !
Après le trafic démantelé dans le nord et l’est, une opération d’envergure a été menée dans le sud mardi matin.
Après le trafic démantelé dans le nord et l’est, une opération d’envergure a été menée dans le sud mardi matin.
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La perquisition qui a eu lieu ce mardi 17 avril 2018 à Saint-Denis concerne l'enquête diligentée par un juge d'instruction du tribunal de grande instance de Saint-Pierre.
Des perquisitions ont eu lieu également au Tampon, à Saint-Pierre et à Saint-Joseph.
Une information judiciaire avait été ouverte en octobre 2017 par le parquet de Saint-Pierre.
Le réveil a donc été difficile pour quatorze personnes suspectées de faire partie de ce réseau.
14 personnes en garde à vue
Les gardés à vue sont majoritairement des hommes.
Depuis octobre de l’année dernière, les gendarmes enquêtaient sur ce trafic de cocaïne, d’ecstasy et de résine de cannabis qui a débuté en 2015.
Au cours des perquisitions effectuées mardi, les militaires ont aussi procédé à des saisies de stupéfiants, mais également de véhicules de luxe et plusieurs milliers d'euros.
Une centaine de gendarmes a été mobilisée pour cette opération. Le GIGN est intervenu tout comme un escadron de gardes mobiles de Marseille.
Et trois équipes cynophiles, dont la douane.
Deux réseaux, deux enquêtes
Le démantèlement de ce second réseau a longtemps semé le doute dans les esprits concernant la paternité du dossier. Finalement, ce sont bien deux enquêtes distinctes. L'une est suivie par un juge d'instruction de Saint-Denis, l'autre par un juge d'instruction de Saint-Pierre.
Dans les affaires de stupéfiants, les gardes à vue peuvent durer jusqu’à 96 heures. 4 jours durant lesquels les enquêteurs vont essayer de connaître les détails de ces trafics. Ils veulent savoir quels sont les degrés d’implication de chacun avant d’éventuels défèrements et mises en examen dans cette deuxième affaire de drogue en quelques jours à la Réunion.
Ce facilitateur a eu un rôle essentiel dans la diffusion de la drogue sur le département.
Les gardes à vue ont été prolongées par le magistrat instructeur, mardi matin.
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Des perquisitions ont eu lieu également au Tampon, à Saint-Pierre et à Saint-Joseph.
Une information judiciaire avait été ouverte en octobre 2017 par le parquet de Saint-Pierre.
Le réveil a donc été difficile pour quatorze personnes suspectées de faire partie de ce réseau.
14 personnes en garde à vue
Les gardés à vue sont majoritairement des hommes.
Depuis octobre de l’année dernière, les gendarmes enquêtaient sur ce trafic de cocaïne, d’ecstasy et de résine de cannabis qui a débuté en 2015.
Au cours des perquisitions effectuées mardi, les militaires ont aussi procédé à des saisies de stupéfiants, mais également de véhicules de luxe et plusieurs milliers d'euros.
Une centaine de gendarmes a été mobilisée pour cette opération. Le GIGN est intervenu tout comme un escadron de gardes mobiles de Marseille.
Et trois équipes cynophiles, dont la douane.
Deux réseaux, deux enquêtes
Le démantèlement de ce second réseau a longtemps semé le doute dans les esprits concernant la paternité du dossier. Finalement, ce sont bien deux enquêtes distinctes. L'une est suivie par un juge d'instruction de Saint-Denis, l'autre par un juge d'instruction de Saint-Pierre.
Dans les affaires de stupéfiants, les gardes à vue peuvent durer jusqu’à 96 heures. 4 jours durant lesquels les enquêteurs vont essayer de connaître les détails de ces trafics. Ils veulent savoir quels sont les degrés d’implication de chacun avant d’éventuels défèrements et mises en examen dans cette deuxième affaire de drogue en quelques jours à la Réunion.
Réseau Nord : un employé de Chronopost impliqué
L'enquête des inspecteurs du GIR avance à grand pas. Huit suspects sont toujours en garde à vue dans les locaux de la Sûreté départementale à Malartic. Au fil des preuves, l'organisation mise en place par Wilson Titus se dévoile. Le caïd du Chaudron avait pour complice principal un employé de Chronopost. Celui-ci facilitait la livraison de cocaïne, ecstasy, MDMA ou résine de cannabis. Sans lui, rien n'était possible. Il évitait à la marchandise de passer par les points de contrôles habituels.Ce facilitateur a eu un rôle essentiel dans la diffusion de la drogue sur le département.
Les gardes à vue ont été prolongées par le magistrat instructeur, mardi matin.
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