Jimmy Gazar avait porté plainte contre les policiers du GIPN après avoir perdu son œil lors des émeutes du Chaudron en 2012. Un non-lieu a été prononcé en mai 2018, Jimmy Gazar avait fait appel. Ce 6 novembre, le non-lieu est confirmé.
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Les policiers sont mis une nouvelle fois hors de cause dans l’affaire Jimmy Gazar. Le délibéré a été rendu ce mardi 6 novembre et la cour d’appel confirme le non-lieu et donc la décision du juge d’instruction. Les fonctionnaires ne seront pas renvoyés devant le tribunal correctionnel.
Regardez les précisions de Delphine Poudroux :
Insatisfait, le dionysien de 42 ans avait décidé de faire appel du non-lieu avec son avocat, le 16 octobre dernier. Maître Rémi Boniface demandait "une reconstitution" car selon lui "les policiers ont menti".
Écoutez les précisions d'Antoine Garnier :
Regardez les précisions de Delphine Poudroux :
Tir de flash-ball
La justice estime que Jimmy Gazar n’a pas perdu son œil à cause d'un tir de flash-ball des policiers du GIPN lors des émeutes du Chaudron de février 2012. Elle avait déjà mis les policiers hors de cause en répondant par un "non-lieu" en mai 2018. Le rapport de la police des polices n'ayant pas pu confirmer un tir de flash-ball volontaire, la justice avait conclu à un accident dû à un éclat de grenade par dispersion.Insatisfait, le dionysien de 42 ans avait décidé de faire appel du non-lieu avec son avocat, le 16 octobre dernier. Maître Rémi Boniface demandait "une reconstitution" car selon lui "les policiers ont menti".
Écoutez les précisions d'Antoine Garnier :
Affaire Gazar