L'énorme nuage de vapeur d'eau et de gaz qui surplombe le cratère, de l'éruption débutée le 15 septembre, prouve que le point chaud est toujours actif. Le trémor n'a pas cessé de faiblir depuis l'épisode de dégazage des chambres magmatique.
L'éruption qui a débuté, il y a cinq semaines, continue, mais pour combien de temps ?
Les mouvements détectés par les appareils des scientifiques de l'observatoire du piton de La Fournaise sont minimes. Le trémor plonge depuis l'épisode de dégazage, événement qui indique, normalement, la fin très proche d'un cycle éruptif.
Aucun séisme n'a été enregistré pendant le week-end indique le site de l'OVPF.
Trémor depuis le 15 septembre 2018 Le débit est très faible, la lave est invisible, elle s'écoule essentiellement dans les tunnels.
Une mission de reconnaissance, effectué dimanche, aux alentours du piton de Bert et sur l'évent éruptif confirme que le dégazage continue.
Sans lien direct avec l'éruption actuelle, les volcanologues notent une inflation de l'édifice. Du magma remonte dans les réservoirs situés à 1 kilomètre, voire 1,5 kilomètre de profondeur sous La Fournaise.
Les mouvements détectés par les appareils des scientifiques de l'observatoire du piton de La Fournaise sont minimes. Le trémor plonge depuis l'épisode de dégazage, événement qui indique, normalement, la fin très proche d'un cycle éruptif.
Aucun séisme n'a été enregistré pendant le week-end indique le site de l'OVPF.
Trémor depuis le 15 septembre 2018 Le débit est très faible, la lave est invisible, elle s'écoule essentiellement dans les tunnels.
Une mission de reconnaissance, effectué dimanche, aux alentours du piton de Bert et sur l'évent éruptif confirme que le dégazage continue.
Sans lien direct avec l'éruption actuelle, les volcanologues notent une inflation de l'édifice. Du magma remonte dans les réservoirs situés à 1 kilomètre, voire 1,5 kilomètre de profondeur sous La Fournaise.