Les FAZSOI ont participé du 18 au 26 Mai à un exercice commun, dans la région de Diego Suares pour plus de 700 militaires venus des Comores, de Maurice, des Seychelles, de Madagascar et de la France.
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Les armées de 5 pays de la zone sud de l’océan indien (Comores, Maurice, Seychelles, Madagascar et France) ont participé à un exercice militaire commun à Madagascar du 18 au 26 mai (hier). Avec plus de 730 militaires déployés dans la grande île, dont 405 militaires français, 215 militaires malgaches, 60 seychellois, et une soixantaine de comoriens et mauriciens, cet exercice multinational était le plus important organisé sur le territoire malgache depuis 1999. Les objectifs étaient multiples : renforcer la coopération régionale, permettre aux forces armées de travailler des procédures communes notamment les phases de déploiement et de manœuvres tactiques, et renforcer la coordination entre les états-majors nationaux.
Diana 2015 (du nom de la région où s'est déroulé l’exercice, près de Diego Suarez), avait pour objet la protection des populations et la stabilisation d’une province en crise. La situation était, bien sur, fictive, mais elle est restée sur des schémas de crise traditionnels rencontrés sur les différents théâtres d’opération que connaît La France.
Ces exercices réguliers demandent aux pays de la zone un effort logistique et humain très importants. Les FAZSOI ont mobilisé plus de 600 militaires (projection, soutien et préparation) pour préparer cet exercice d’importance. L’armée malgache accueille l’ensemble des forces sur une de leur base militaire. Les officiers français et malgaches sont binômés sur l’ensemble des postes d’état-major afin de partager et de mieux appréhender les méthodes de travail aux normes OTAN. Les conditions de travail sont celles d’une opération extérieure. L’ensemble des forces (y compris les états-majors) sont projetées sur le terrain, et exécutent leurs missions dans des conditions rustiques.
Le général Franck Reignier, commandant supérieur des Forces Armées dans la Zone Sud de l’Océan Indien (FAZSOI) a souligné l’excellent déroulement et l’exemplarité de cet exercice. « Ces exercices multinationaux sont des moments de préparation opérationnelle indispensables afin de contrer plus efficacement des menaces toujours plus fortes ».
Diana 2015 (du nom de la région où s'est déroulé l’exercice, près de Diego Suarez), avait pour objet la protection des populations et la stabilisation d’une province en crise. La situation était, bien sur, fictive, mais elle est restée sur des schémas de crise traditionnels rencontrés sur les différents théâtres d’opération que connaît La France.
Ces exercices réguliers demandent aux pays de la zone un effort logistique et humain très importants. Les FAZSOI ont mobilisé plus de 600 militaires (projection, soutien et préparation) pour préparer cet exercice d’importance. L’armée malgache accueille l’ensemble des forces sur une de leur base militaire. Les officiers français et malgaches sont binômés sur l’ensemble des postes d’état-major afin de partager et de mieux appréhender les méthodes de travail aux normes OTAN. Les conditions de travail sont celles d’une opération extérieure. L’ensemble des forces (y compris les états-majors) sont projetées sur le terrain, et exécutent leurs missions dans des conditions rustiques.
Le général Franck Reignier, commandant supérieur des Forces Armées dans la Zone Sud de l’Océan Indien (FAZSOI) a souligné l’excellent déroulement et l’exemplarité de cet exercice. « Ces exercices multinationaux sont des moments de préparation opérationnelle indispensables afin de contrer plus efficacement des menaces toujours plus fortes ».