Exercice d’entrainement de secours et d’évacuation sur le Papang

Exercice de secours et d'évacuation sur le Papang.
Le fonctionnement du Papang interrompu ce mercredi après-midi pour des exercices de secours. SDIS, GRIMP ou encore PGHM ont été testé les procédures d’évacuation d’urgence en cas de problème sur le téléphérique urbain. Les voyageurs ont dû emprunter le réseau de bus Citalis pour se déplacer sur le secteur.

Le Papang n'a pas pu transporter d'usagers ce mercredi après-midi, ses cabines étant réquisitionnées pour des exercices d'urgence. Pompiers, Police, ou encore hommes du GRIMP et du GIPN étaient perchés tout en haut de la structure afin de tester les procédures d'évacuation et le matériel en cas d'incident.

Exercice d'évacuation sur le Papang.

 

2 à 3 fois dans l’année les acteurs du secours s’entrainent sur le téléphérique urbain. " Le but est de pouvoir réussir une évacuation verticale. L’une des situations les plus dramatiques que l’on pourrait vivre serait qu’on tombe en panne, et qu’on ne puisse pas redémarrer " précise Taibi Baya  Directrice d’exploitation du site étoile pour le compte de la CINOR.

Les usagers doivent être évacués en hauteur, les uns après les autres. Le Papang est aussi mis à la disposition des différents acteurs pour qu'ils puissent s'entrainer et mettre les nouveaux entrants en situation.

Regarder le reportage de Réunion la 1ère : 

Exercice de secours sur le téléphérique Papang pour les pompiers, gendarmes et policiers

850 000 voyages réalisés par la Papang en 7 mois 

Depuis son ouverture, il y a 7 mois, le Papang a enregistré plus de 850 000 voyages pour un public d’abonnés et de scolaires fréquentant les établissements qu’il dessert. En moyenne, ce sont  6 000 voyages qui sont sont réalisés chaque jour de la semaine.

Le Papang immobilisé pour des exercices de secours. Des tests grandeur nature en cas d'évacuation des usagers en hauteur.

    

" La sureté de voyage et la sécurité de ses usagers étant une priorité, le téléphérique PAPANG doit en permanence répondre à un niveau d’exigence absolue ", a rappelé la CINOR.