Le train de houle et les bourrasques de Fakir n’ont pas épargné les paillotes de l’Hermitage. Joseph Sinimalé non plus ! Le maire de Saint-Paul a pris un arrêté pour imposer à trois restaurants une sécurisation de leurs installations récemment dégradées par le déchaînement des éléments.
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L’arrêté municipal, concerne trois restaurants, La Bobine, Le Coco Beach et le K.Banon et s’appuie sur deux grands principes.
D’abord, sur le pouvoir de police du maire. Il impose aux gérants des établissements de "prendre les mesures appropriées permettant la mise en sécurité des personnes et d’assurer qu’aucun élément de construction ayant subi des dégradations puisse à nouveau faire l’objet d’un déplacement à l’occasion d’un nouvel épisode de houle". Et précise que "les parties des établissements qui ont été dégradées seront désormais interdites au public".
Le deuxième levier actionné par Joseph Sinimalé est judiciaire. Sur la base de la suspension des Autorisation d’Occupation Temporaires (AOT), l’édile rappelle "qu’aucune reconstruction ne saurait être réalisée" sur le domaine public maritime
Avec cet arrêté, le maire de Saint-Paul porte ainsi la première estocade dans un dossier où il a longtemps botté en touche. Mais « c’est loin d’être suffisant » pour le collectif de défense du DPM, pour qui, la fermeture administrative prévaut… et d’en référer aussi à la décision du tribunal administratif.
La semaine dernière, suite à l'épisode de fortes houles qui avait déjà endommagées certains restaurants de bord de mer, le collectif avait intenté une nouvelle action dans ce dossier des paillotes de l’Hermitage : une plainte contre X a été déposée pour mise en danger de la vie d'autrui et atteinte grave à l’environnement.
D’abord, sur le pouvoir de police du maire. Il impose aux gérants des établissements de "prendre les mesures appropriées permettant la mise en sécurité des personnes et d’assurer qu’aucun élément de construction ayant subi des dégradations puisse à nouveau faire l’objet d’un déplacement à l’occasion d’un nouvel épisode de houle". Et précise que "les parties des établissements qui ont été dégradées seront désormais interdites au public".
Le deuxième levier actionné par Joseph Sinimalé est judiciaire. Sur la base de la suspension des Autorisation d’Occupation Temporaires (AOT), l’édile rappelle "qu’aucune reconstruction ne saurait être réalisée" sur le domaine public maritime
Avec cet arrêté, le maire de Saint-Paul porte ainsi la première estocade dans un dossier où il a longtemps botté en touche. Mais « c’est loin d’être suffisant » pour le collectif de défense du DPM, pour qui, la fermeture administrative prévaut… et d’en référer aussi à la décision du tribunal administratif.
La semaine dernière, suite à l'épisode de fortes houles qui avait déjà endommagées certains restaurants de bord de mer, le collectif avait intenté une nouvelle action dans ce dossier des paillotes de l’Hermitage : une plainte contre X a été déposée pour mise en danger de la vie d'autrui et atteinte grave à l’environnement.