Face à la flambée des prix sur les étalages, la FDSEA tient à clarifier les choses. Ce ne sont pas les agriculteurs mais les importateurs qui en sont responsables, selon le syndicat agricole.
•
Avec le passage de Berguitta, la production locale d’oignons, qui s’achève tout juste, a été légèrement amputée. Les prix ont donc un peu augmenté, d’un euro en moyenne, passant ainsi de 1,5 euro à 2,5 euros.
Rien à voir avec la flambée qu’ont connus les prix des oignons importés, pour la FDSEA. Eux ont été multipliés par 6 ou par 7 depuis Berguitta. Pour le syndicat, les agriculteurs réunionnais sont étrangers à cette situation.
Leur production, ne représentant que 15% du marché local, est en effet bien moindre, 600 tonnes à peine, contre les 8 000 tonnes importées.
Pour faire face à cette situation, le conseil départemental octroie des aides pour augmenter les surfaces de production dans l’île. La FDSEA, qui s’en félicite, voudrait ainsi voir la production péi atteindre 25% du marché local.
Le reportage, à Piton Saint-Leu, d’Henry-Claude Elma et Philippe Hoareau.
Rien à voir avec la flambée qu’ont connus les prix des oignons importés, pour la FDSEA. Eux ont été multipliés par 6 ou par 7 depuis Berguitta. Pour le syndicat, les agriculteurs réunionnais sont étrangers à cette situation.
Leur production, ne représentant que 15% du marché local, est en effet bien moindre, 600 tonnes à peine, contre les 8 000 tonnes importées.
Pour faire face à cette situation, le conseil départemental octroie des aides pour augmenter les surfaces de production dans l’île. La FDSEA, qui s’en félicite, voudrait ainsi voir la production péi atteindre 25% du marché local.
Le reportage, à Piton Saint-Leu, d’Henry-Claude Elma et Philippe Hoareau.
Reportage
•