Cette année 6025 coureurs participeront au Grand Raid, toutes courses confondues. Près de 2000 participants arrivent de l’extérieur. Les premiers ont posé leurs pieds à l’aéroport Roland Garros ce mercredi.
Le sourire accroché sur le visage, les premiers raideurs arrivant de l’extérieur descendent tout juste d’avion, équipement sur les épaules. Si les jambes sont encore engourdies par le voyage et les 11h de vol, certains ne cachent pas trépigner d’impatience à l’idée de chausser les baskets et d’être lâchés dans les sentiers d’une diagonale infernale.
Frédéric Rafaeli arrive tout droit de Corse. Le Grand Raid, c’est une première pour lui. Il sait que le parcours sera difficile mais pour lui c’est la compétition avant tout. Son objectif : boucler le Grand Raid en moins de 40H et arriver samedi à La Redoute.
La Diagonale des fous, une première aussi pour Frédéric Goumot qui a commencé à courir il y a seulement 4 ans. C’est après avoir terminé l’Ultra Trail du Mont Blanc (UTMB) l’an passé qu’il s’est donné pour défi de s’attaquer au Grand Raid cette année. Sa crainte : le passage dans Roche Plate et le Col du Taïbit. S’il est arrivé une semaine avant la course, c’est pour visiter un peu l’île mais surtout pour découvrir le parcours.
Vincent Collette, lui, redoute surtout le Chemin des Anglais et ses pavés « casse-pattes ». « Il parait que c’est atroce pour les pieds, il faudra bien les garder jusque-là », explique ce belge, habitué des ultra-trails, bien décidé à rallier le Stade de la Redoute.
Le reportage d'Indranie Pétiaye et Philippe Hoareau.
A J-8 du départ de la Diagonale des fous, la pression va monter tout doucement pour ces coureurs qui se préparent depuis des mois. Des raideurs, pour la plupart impatients de vivre cette grande aventure sportive et humaine qui promet des sensations fortes.
Une course folle, exigeante, dans laquelle le corps et le mental sont mis à rude épreuve. L’occasion de sonder ses propres limites. Le tout à travers un paysage exceptionnel qui change à chaque détour d’un sentier.
Frédéric Rafaeli arrive tout droit de Corse. Le Grand Raid, c’est une première pour lui. Il sait que le parcours sera difficile mais pour lui c’est la compétition avant tout. Son objectif : boucler le Grand Raid en moins de 40H et arriver samedi à La Redoute.
La Diagonale des fous, une première aussi pour Frédéric Goumot qui a commencé à courir il y a seulement 4 ans. C’est après avoir terminé l’Ultra Trail du Mont Blanc (UTMB) l’an passé qu’il s’est donné pour défi de s’attaquer au Grand Raid cette année. Sa crainte : le passage dans Roche Plate et le Col du Taïbit. S’il est arrivé une semaine avant la course, c’est pour visiter un peu l’île mais surtout pour découvrir le parcours.
Vincent Collette, lui, redoute surtout le Chemin des Anglais et ses pavés « casse-pattes ». « Il parait que c’est atroce pour les pieds, il faudra bien les garder jusque-là », explique ce belge, habitué des ultra-trails, bien décidé à rallier le Stade de la Redoute.
Le reportage d'Indranie Pétiaye et Philippe Hoareau.
Reportage
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Accueil chaleureux… avant l’effort douloureux
Ce mercredi, 1000 coureurs de l’extérieur sont ainsi attendus dans l’île. Ils sont accueillis chaleureusement par les bénévoles de l’association Grand Raid. Les autres, arriveront entre samedi et lundi.A J-8 du départ de la Diagonale des fous, la pression va monter tout doucement pour ces coureurs qui se préparent depuis des mois. Des raideurs, pour la plupart impatients de vivre cette grande aventure sportive et humaine qui promet des sensations fortes.
Une course folle, exigeante, dans laquelle le corps et le mental sont mis à rude épreuve. L’occasion de sonder ses propres limites. Le tout à travers un paysage exceptionnel qui change à chaque détour d’un sentier.