Ce n’est pas impossible. Les mini-centrales nucléaires sont sur le point d’être commercialisées. Un symposium sur l'énergie nucléaire a réuni plusieurs représentants des pays africains dans l'île soeur.
A l’ouverture des travaux, à l’hôtel Voila Bagatelle le 19 mars, Ivan Collendavelloo, premier ministre adjoint a déclaré qu’une loi sur l’utilisation de l’énergie nucléaire sera présentée au Parlement mauricien d’ici juillet à août. Il ne s'agit pas à pour l'instant de produire une énergie électrique d'origine nucléaire.
Est-ce possible ?
On sait que la plus petite des centrales nucléaires en service actuellement, produirait beaucoup plus d’électricité que l’Ile Maurice pourrait consommer. Mais plusieurs pays, dont la France, le Canada, la Chine et les Etats-Unis, se sont lancés dans la course aux mini-centrales nucléaires, car le marché potentiel est énorme.
Ces mini-centrales sont moins coûteuses et plus faciles à installer que les centrales actuelles.
Une mini-centrale française immergée est sur le point d’être commercialisée. Les phases de tests du constructeur naval militaire français Naval Group (Ex DCNS) s’achèvent. L’Indonésie a été le premier pays intéressé par cette technologie qui a pour nom Flexblue.
Quel intérêt ?
La mini-centrale se présente comme une capsule, longue comme un sous-marin, d’un poids de 12000 tonnes. Elle est prévue pour être installée à 100 m sous le niveau de la mer. Sa production est comprise entre 50 et 250 mégawatts. Par comparaison, la centrale du Port Est, équipé de 12 moteurs Diesel, a une puissance totale de 210 mégawatts et la centrale hydroélectrique de Sainte-Rose a une production de 67,2 mégawatts.
La mini-centrale Flexblue intéresse toutes les îles, ou les pays disposant d’une façade maritime. Plusieurs unités peuvent être installées le long des côtes, au plus proche des lieux de consommation.
Son principal argument est son coût, entre 100 millions et 1 milliard d’euros, sans parler d’une technologie qui a fait ses preuves de rentabilité.
Des arguments qui font mouche auprès des pays émergents, alors que les pays du Nord, fortement industrialisés se tournent vers les énergies renouvelables, sous la pression des écologistes.
Est-ce possible ?
On sait que la plus petite des centrales nucléaires en service actuellement, produirait beaucoup plus d’électricité que l’Ile Maurice pourrait consommer. Mais plusieurs pays, dont la France, le Canada, la Chine et les Etats-Unis, se sont lancés dans la course aux mini-centrales nucléaires, car le marché potentiel est énorme.
Ces mini-centrales sont moins coûteuses et plus faciles à installer que les centrales actuelles.
Une mini-centrale française immergée est sur le point d’être commercialisée. Les phases de tests du constructeur naval militaire français Naval Group (Ex DCNS) s’achèvent. L’Indonésie a été le premier pays intéressé par cette technologie qui a pour nom Flexblue.
Quel intérêt ?
La mini-centrale se présente comme une capsule, longue comme un sous-marin, d’un poids de 12000 tonnes. Elle est prévue pour être installée à 100 m sous le niveau de la mer. Sa production est comprise entre 50 et 250 mégawatts. Par comparaison, la centrale du Port Est, équipé de 12 moteurs Diesel, a une puissance totale de 210 mégawatts et la centrale hydroélectrique de Sainte-Rose a une production de 67,2 mégawatts.
La mini-centrale Flexblue intéresse toutes les îles, ou les pays disposant d’une façade maritime. Plusieurs unités peuvent être installées le long des côtes, au plus proche des lieux de consommation.
Son principal argument est son coût, entre 100 millions et 1 milliard d’euros, sans parler d’une technologie qui a fait ses preuves de rentabilité.
Des arguments qui font mouche auprès des pays émergents, alors que les pays du Nord, fortement industrialisés se tournent vers les énergies renouvelables, sous la pression des écologistes.