Autour de Pierre Bordereau, une terrasse et des chaises vides. Depuis l’attaque de samedi, seules personnes à l’eau, les gendarmes de la brigade nautique qui inspectent les filets.
Le restaurateur du « Ti Boucan », fait le même constat chez les autres commerçants et bars d’à côté, il n'y a pas beaucoup de clients.
Le restaurateur dépité, souhaite déposer une plainte au civil, une action avant tout symbolique.
"Tous les efforts accomplis depuis 2011", dit il, pour ramener la vie à Boucan canot "se retrouvent anéantis par l’imprudence des surfeurs. Ils se mettent à l’eau malgré l’interdiction préfectorale de baignade et les activités nautiques, les appels à l’ordre des MNS, le drapeau rouge « risque requin » hissé".
Après l’installation des filets anti-requins, les familles étaient revenues, la confiance aussi.
Lui-même avait embauché de la main d’œuvre, pour accueillir une clientèle remotivée.
Aujourd’hui c’est de nouveau la peur, la terreur qui s’installent, c’est un retour en arrière.
Il veut créer un collectif avec les riverains, les étaliers, les commerçants pour dénoncer la situation.
En images avec Thierry Chapuis
Le restaurateur dépité, souhaite déposer une plainte au civil, une action avant tout symbolique.
"Tous les efforts accomplis depuis 2011", dit il, pour ramener la vie à Boucan canot "se retrouvent anéantis par l’imprudence des surfeurs. Ils se mettent à l’eau malgré l’interdiction préfectorale de baignade et les activités nautiques, les appels à l’ordre des MNS, le drapeau rouge « risque requin » hissé".
Après l’installation des filets anti-requins, les familles étaient revenues, la confiance aussi.
Lui-même avait embauché de la main d’œuvre, pour accueillir une clientèle remotivée.
Aujourd’hui c’est de nouveau la peur, la terreur qui s’installent, c’est un retour en arrière.
Il veut créer un collectif avec les riverains, les étaliers, les commerçants pour dénoncer la situation.
En images avec Thierry Chapuis