Une présence discrète des militaires en tenue à l’aérogare Roland Garros pour assurer la surveillance des allés et venues des passagers
Le hall des arrivées et des départs de l’aérogare Roland Garros est en général bondé. A La Réunion il est de tradition d’accompagner, souvent à plusieurs, le passager au départ, ou de venir chercher celui qui arrive.
Mettre en place un filtre, pour ne permettre qu’à ceux qui voyagent d’accéder à l’aérogare pourrait être mal perçu à La Réunion.
Des passagers fatalistes
Les passagers rencontrés à l’aérogare le reconnaissent. L’accès est libre. Personne ne contrôle les personnes dans le hall.
Ils sont aussi un brin fatalistes : « ce n’est pas parce que l’on mettra plus de militaires qu’on empêchera quelqu’un avec une valise de commettre un attentat ».
Les voitures de police stationnent devant l’aérogare. Les militaires armés patrouillent. Le véritable contrôle a lieu lorsque le passager entre dans la zone sous douane, réservée qu’aux personnes munies d’un billet et d’une pièce d’identité.
En images avec Thierry Chenayer, Florence Bouchou et Frédéric Testa
Mettre en place un filtre, pour ne permettre qu’à ceux qui voyagent d’accéder à l’aérogare pourrait être mal perçu à La Réunion.
Des passagers fatalistes
Les passagers rencontrés à l’aérogare le reconnaissent. L’accès est libre. Personne ne contrôle les personnes dans le hall.
Ils sont aussi un brin fatalistes : « ce n’est pas parce que l’on mettra plus de militaires qu’on empêchera quelqu’un avec une valise de commettre un attentat ».
Les voitures de police stationnent devant l’aérogare. Les militaires armés patrouillent. Le véritable contrôle a lieu lorsque le passager entre dans la zone sous douane, réservée qu’aux personnes munies d’un billet et d’une pièce d’identité.
En images avec Thierry Chenayer, Florence Bouchou et Frédéric Testa