Dimanche 28 Février 2016, le violeur d’une adolescente, derrière le Jumbo-Score du Sacré-Cœur en Août 2015, s’est constitué prisonnier au commissariat du Port. L’homme de 43 ans n’avait toujours pas été identifié.
Dimanche 21 heures, alors que le commissariat du Port est sous haute tension après les événements du week-end, un homme vient se rendre. Il s’accuse du viol d’une adolescente derrière le Jumbo-Score du Sacré-Cœur.
Les faits remontent au 19 Août 2015 en début de nuit. Deux jeunes filles se baladent à proximité de la grande-surface implantée en bordure de la rivière des Galets. Profitant de l’obscurité, le violeur, vêtu de noir et dont le visage est masqué par une capuche, s’approche et contraint l’une des deux adolescentes à le suivre derrière le magasin. Là à l’abri des regards, il viole sa « proie ».
Des aveux très précis
Vers 21 heures, les policiers du Port reçoivent l’appel au secours de l’amie. Elle panique et n’arrive pas à retrouver sa copine. Quelques minutes plus tard, les forces de l’ordre découvrent la victime. Elle est en état de choc.
Hospitalisée en urgence à Saint-Paul, elle est entendue le lendemain par les inspecteurs et accepte de revenir avec eux sur les lieux de son agression.
Malgré les prélèvements d’ADN effectués sur elle, la description précise de l’agresseur et les quelques indices recueillis sur place l’enquête était au point mort.
Les faits remontent au 19 Août 2015 en début de nuit. Deux jeunes filles se baladent à proximité de la grande-surface implantée en bordure de la rivière des Galets. Profitant de l’obscurité, le violeur, vêtu de noir et dont le visage est masqué par une capuche, s’approche et contraint l’une des deux adolescentes à le suivre derrière le magasin. Là à l’abri des regards, il viole sa « proie ».
Des aveux très précis
Vers 21 heures, les policiers du Port reçoivent l’appel au secours de l’amie. Elle panique et n’arrive pas à retrouver sa copine. Quelques minutes plus tard, les forces de l’ordre découvrent la victime. Elle est en état de choc.
Hospitalisée en urgence à Saint-Paul, elle est entendue le lendemain par les inspecteurs et accepte de revenir avec eux sur les lieux de son agression.
Malgré les prélèvements d’ADN effectués sur elle, la description précise de l’agresseur et les quelques indices recueillis sur place l’enquête était au point mort.