Les soldes sous contrôle

Des inspecteurs du pôle Concurrence de la Direction de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités opèrent des contrôles en cette période de soldes.
Depuis le 4 février, les consommateurs réunionnais peuvent faire de bonnes affaires dans les commerces de l’île, c’est le temps des soldes qui court jusqu’au 3 mars prochain. Un moment fort de consommation qui reste toutefois très réglementé. Ce vendredi, des inspecteurs du pôle Concurrence de la Direction de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités opéraient des contrôles rue Jules Auber à Saint-Denis.

C’est la valse des étiquettes dans les magasins de l’île. Depuis le 4 février dernier et jusqu’au 3 mars prochain, les consommateurs peuvent faire de bonnes affaires avec les soldes.

C’est aussi un moment important pour les commerçants qui écoulent durant un mois, leurs stocks et  invendus, mais pas de n’importe quelle manière.

Ces opérations restent très réglementées en matière de publicité, de calcul de prix ou d’affichage d'où le passage durant cette période d'inspecteurs de la DEETS (Direction de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités ) dans les magasins afin de veiller au respect de la législation.

Le reportage de Réunion la 1ère :

Les soldes, c’est l’occasion de faire de bonnes affaires… Mais les commerçants doivent respecter des règles

Ce vendredi, trois agents  du pôle Concurrence de la Direction de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités ont opéré des contrôles rue Jules Auber à Saint-Denis.  

Publicité, calcul des prix et affichage les inspecteurs de La DEETS veillent au respect de la législation.

Des contrôles pour la protection des consommateurs

Ces contrôles inopinés ont pour vocation de corriger et sanctionner les comportements illicites. " Ces derniers trompent les consommateurs et pénalisent tous les commerces respectueux des règles sur les soldes " précise La Préfecture de La Réunion dans un communiqué.

Ces faits peuvent constituer le délit de pratique commerciale trompeuse, les peines en cas d'infractions peuvent aller jusqu’à 2 ans d’emprisonnement et 300.000 euros d’amende.