Un incendie spectaculaire a, en partie, détruit le centre commercial Mialy de Behoririka. Les sapeurs-pompiers sont parvenus à éviter que le sinistre s’étende aux nombreux magasins voisins.
Les propriétaires et les salariés des boutiques de la galerie commerciale Mialy à Behoririka au centre de Tananarive étaient, par chance, déjà partis quand une violente explosion a retenti. Il était environ 18 heures.
Quelques minutes, plus tard, seulement, une épaisse fumée commençait à s’échapper du deuxième étage du bâtiment. Avant que les secours n’arrivent, des flammes s’échappaient de la devanture.
Les sapeurs-pompiers de la capitale sont parvenus, non sans mal, à circonscrire le sinistre.
Trois camions-pompes avaient été envoyés sur place, mais les bouches à incendie du quartier n’étaient pas opérationnelles écrit Midi-Madagascar. Les forces de l’ordre ont été contraintes d’installer un cordon de sécurité autour du foyer pour éviter que des personnes tentent de profiter du sinistre pour voler des vêtements.
Behoririka est appelé, le chinatown malgache. Ce quartier commerçant est spécialisé dans les boutiques de vêtements à la mode. Les propriétaires des magasins du centre commercial étaient présents, mardi soir. Les larmes aux yeux, ils ont assisté, impuissants, au désastre.
Quelques minutes, plus tard, seulement, une épaisse fumée commençait à s’échapper du deuxième étage du bâtiment. Avant que les secours n’arrivent, des flammes s’échappaient de la devanture.
Les sapeurs-pompiers de la capitale sont parvenus, non sans mal, à circonscrire le sinistre.
Les forces de l'ordre ont protégé les commerces incendiés
Trois camions-pompes avaient été envoyés sur place, mais les bouches à incendie du quartier n’étaient pas opérationnelles écrit Midi-Madagascar. Les forces de l’ordre ont été contraintes d’installer un cordon de sécurité autour du foyer pour éviter que des personnes tentent de profiter du sinistre pour voler des vêtements.
Behoririka est appelé, le chinatown malgache. Ce quartier commerçant est spécialisé dans les boutiques de vêtements à la mode. Les propriétaires des magasins du centre commercial étaient présents, mardi soir. Les larmes aux yeux, ils ont assisté, impuissants, au désastre.