Quatre des cinq braqueurs d’un cash-point et d’une boucherie du quartier d’Ambolokandrina ont été abattus par les forces de l’ordre. La scène s’est déroulée mercredi après-midi en pleine rue comme le relate l'Express de Madagascar.
Les scènes de violences se multiplient à Madagascar. Pas une semaine ne passe sans un article qui relate les morts violentes de victimes de voleurs, de braqueurs ou de représentants des forces de l’ordre.
Mercredi après-midi, cinq hommes décident de braquer un cash-point et une boucherie du quartier d’Ambolokandrina situé au Sud-Est de Tananarive. Deux des assaillants sont armés, l’un d’une kalachnikov, le second d’un pistolet automatique. En voyant les armes à feu, les propriétaires des lieux battent en retraite et laissent les braqueurs se servir.
Abattus dans la rue
L’affaire dégénère quand une patrouille de gendarmes, alertée par des passants, intervient. A la vue des militaires, les voleurs décident de prendre la fuite. Cette course poursuite sera fatale à quatre d’entre eux.
Le cinquième, surnommé « Rasta », aurait pris en otage un témoin pour protéger son retrait.
Ses complices n’ont pas eu autant de chance. Deux ont été abattus dans le jardin d’une villa où ils tentaient de se réfugier. Les deux autres sont tombés sous les balles dans la rue. L’un d’eux gravement blessé n’a pu être sauvé, il est mort à l’arrière du pick-up des militaires.
Mercredi après-midi, cinq hommes décident de braquer un cash-point et une boucherie du quartier d’Ambolokandrina situé au Sud-Est de Tananarive. Deux des assaillants sont armés, l’un d’une kalachnikov, le second d’un pistolet automatique. En voyant les armes à feu, les propriétaires des lieux battent en retraite et laissent les braqueurs se servir.
Abattus dans la rue
L’affaire dégénère quand une patrouille de gendarmes, alertée par des passants, intervient. A la vue des militaires, les voleurs décident de prendre la fuite. Cette course poursuite sera fatale à quatre d’entre eux.
Le cinquième, surnommé « Rasta », aurait pris en otage un témoin pour protéger son retrait.
Ses complices n’ont pas eu autant de chance. Deux ont été abattus dans le jardin d’une villa où ils tentaient de se réfugier. Les deux autres sont tombés sous les balles dans la rue. L’un d’eux gravement blessé n’a pu être sauvé, il est mort à l’arrière du pick-up des militaires.