Madagascar va rouvrir ses aéroports aux vols commerciaux le 1er octobre 2020. La Grande île autorise les transports en commun interrégionaux depuis un mois. Les statistiques sanitaires montrent, dans le même temps, une diminution de la propagation du virus. Les vols vont donc pouvoir reprendre.
Madagascar, comme de nombreux pays de la zone, a fermé ses frontières aux vols internationaux pour concentrer ses moyens sanitaires sur sa population. Conformément aux recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), des équipes dédiées ont sillonné les régions de la Grande île pour multiplier les tests. Ils se sont concentrés sur les villes les plus importantes et sur le dépistage des contacts afin de briser la chaîne de contamination.
Il est impossible d'affirmer, aujourd'hui, si cette stratégie a été payante, mais d'ici la fin du mois d'octobre 2020. Les tarmacs seront accessibles à tous les vols commerciaux internationaux. Le 1er octobre 2020 Tana et Nosy-be inaugurent le processus et le 29 octobre 2020, les aéroports d'Antsiranana, de Toamasina, de Taolagnaro et Toliara suivront, si tout se passe sans anicroches.
Cette annonce officielle a été faite par Christian Ntsay, le Premier ministre, qui a précisé que pour le Nord du pays, les liaisons restent suspendues. Des rebonds épidémiques ont été enregistrés dans les districts de Sava et Diana.
Les restrictions sanitaires disparaissent les unes après les autres. Désormais, les églises, les bars, les restaurants et les karaokés ont ouvert leurs portes. Seules les salles de cinéma sont touchées par des restrictions. Elles ne peuvent pas accueillir plus de 100 personnes.
Le couvre-feu est réduit. Il est en vigueur de minuit à 4h du matin. Enfin et c'est très important dans la vie de la population malgache, la circulation des morts est à nouveau autorisée. Les pompes funèbres doivent être en possession d'un certificat que le décès n'est pas lié au coronavirus écrit Madagascar-Tribune.
Le temps est passé, 5 mois après le lancement médiatique du CVO et l'annonce de la construction d'une usine pour la production en masse de son dérivé médicamenteux, voici que des essais cliniques sont validés par les experts africains de l'OMS.
L'Afrique n'oublie pas la médecine traditionnelle
Encore une fois, il est essentiel de préciser qu'il est question de scientifiques originaires d'Afrique et que les tests seront réalisés à Madagascar par des praticiens de la Grande île.
Inutile d'expliquer ici, que L'Express de Madagascar, comme les virologues de l'hémisphère Sud, ne se font pas d'illusion sur les commentaires à venir.
Le Dr. Prosper Tumusiime, directeur du département Couverture santé universelle et parcours de vie au bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, précise : "L’apparition de la Covid-19, tout comme l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, a mis en évidence la nécessité de renforcer les systèmes de santé et l’accélération des programmes de recherche et de développement, notamment sur les médecines traditionnelles."
Il est impossible d'affirmer, aujourd'hui, si cette stratégie a été payante, mais d'ici la fin du mois d'octobre 2020. Les tarmacs seront accessibles à tous les vols commerciaux internationaux. Le 1er octobre 2020 Tana et Nosy-be inaugurent le processus et le 29 octobre 2020, les aéroports d'Antsiranana, de Toamasina, de Taolagnaro et Toliara suivront, si tout se passe sans anicroches.
Les bars, restaurants, karaokés rouvrent
Cette annonce officielle a été faite par Christian Ntsay, le Premier ministre, qui a précisé que pour le Nord du pays, les liaisons restent suspendues. Des rebonds épidémiques ont été enregistrés dans les districts de Sava et Diana.
Les restrictions sanitaires disparaissent les unes après les autres. Désormais, les églises, les bars, les restaurants et les karaokés ont ouvert leurs portes. Seules les salles de cinéma sont touchées par des restrictions. Elles ne peuvent pas accueillir plus de 100 personnes.
Le couvre-feu est réduit. Il est en vigueur de minuit à 4h du matin. Enfin et c'est très important dans la vie de la population malgache, la circulation des morts est à nouveau autorisée. Les pompes funèbres doivent être en possession d'un certificat que le décès n'est pas lié au coronavirus écrit Madagascar-Tribune.
Les essais cliniques pour le traitement malgache approuvé par l'OMS
Que de moqueries, de rigolades, d'articles à charge pour dénoncer le protocole phytothérapeutique développé par Madagascar. Sans le moindre doute, il était évident que le breuvage et les gélules élaborés à base des plantes médicinales étaient un placebo...Le temps est passé, 5 mois après le lancement médiatique du CVO et l'annonce de la construction d'une usine pour la production en masse de son dérivé médicamenteux, voici que des essais cliniques sont validés par les experts africains de l'OMS.
L'Afrique n'oublie pas la médecine traditionnelle
Encore une fois, il est essentiel de préciser qu'il est question de scientifiques originaires d'Afrique et que les tests seront réalisés à Madagascar par des praticiens de la Grande île.
Inutile d'expliquer ici, que L'Express de Madagascar, comme les virologues de l'hémisphère Sud, ne se font pas d'illusion sur les commentaires à venir.
Le Dr. Prosper Tumusiime, directeur du département Couverture santé universelle et parcours de vie au bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, précise : "L’apparition de la Covid-19, tout comme l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, a mis en évidence la nécessité de renforcer les systèmes de santé et l’accélération des programmes de recherche et de développement, notamment sur les médecines traditionnelles."