Le maximum des fonctionnaires de police, est mobilisé dans toutes les circonscriptions afin d'encadrer la manifestation du 17 Novembre à la Réunion initiée par le collectif 974 et des mouvements citoyens. 850 gardiens de la paix seront répartis sur le terrain et dans les communes sensibles.
Congés restreints, rappel de service, la police dans tout le département, rassemble ses troupes pour être présente sur le terrain samedi.
« En plus des points de blocage, nous n’avons aucune idée de combien ils seront » dit Gilles Clain, le secrétaire national délégué Unité SGP-Police-FO.
Ce matin, une réunion s’est tenue entre la Direction Départementale de la Sécurité Publique et la Préfecture pour définir les dispositifs engagés pour la journée de samedi mais aussi en soirée où des débordements sont possibles.
Regardez le reportage de Michelle Bertil et Daniel Fontaine :
"Les consignes nationales prônent la tolérance zéro" rappellent les syndicats, citant les propos de Christophe Castaner. Hier le Ministre de l’intérieur a averti "Partout où il y aura blocage, nous interviendrons ».
Les syndicats sont interpellés par les commerçants qui se disent très inquiets.
« Nous comprenons la colère de la population", ajoute Idriss Rangassamy de Alliance-Police "Mais nous devons faire notre travail : protéger les biens et les personnes, nous ne voulons pas découvrir la misère au réveil dimanche matin".
« En plus des points de blocage, nous n’avons aucune idée de combien ils seront » dit Gilles Clain, le secrétaire national délégué Unité SGP-Police-FO.
Ce matin, une réunion s’est tenue entre la Direction Départementale de la Sécurité Publique et la Préfecture pour définir les dispositifs engagés pour la journée de samedi mais aussi en soirée où des débordements sont possibles.
Regardez le reportage de Michelle Bertil et Daniel Fontaine :
"Les consignes nationales prônent la tolérance zéro" rappellent les syndicats, citant les propos de Christophe Castaner. Hier le Ministre de l’intérieur a averti "Partout où il y aura blocage, nous interviendrons ».
Les syndicats sont interpellés par les commerçants qui se disent très inquiets.
« Nous comprenons la colère de la population", ajoute Idriss Rangassamy de Alliance-Police "Mais nous devons faire notre travail : protéger les biens et les personnes, nous ne voulons pas découvrir la misère au réveil dimanche matin".