Depuis un décret du 11 juillet et la fin de l'état d'urgence sanitaire, le masque chirurgical à usage unique est obligatoire dans les avions. La protection en tissu n'est pas acceptée par certaines compagnies qui desservent La Réunion au départ de Paris
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C'est officiel depuis la publication du décret qui précise les mesures générales applicables dans le cadre de la sortie de l'état d'urgence sanitaire. Dans les avions, seuls les masques chirurgicaux à usage unique sont maintenant acceptés. Les protections en tissu sont bannis.
Air France l'applique déjà depuis le 3 juin. La compagnie nationale qui assure actuellement une rotation quotidienne entre Paris-Charles de Gaulle et La Réunion affiche depuis un mois sur les réseaux sociaux les bonnes pratiques sanitaires pour un voyage en toute sérénité. Le masque doit donc être conservé "en permanence à bord des avions", "en dehors des temps de repas à bord". Pourtant, les masques en tissu dits "grands publics" constituent une alternative fiable aux masques chirurgicaux, à condition de bien les entretenir au moment du lavage. Mais pour le gouvernement et la majorité des compagnies aériennes, les masques chirurgicaux sont les plus sûrs.
De son côté French Bee qui propose des vols vers Saint-Denis au départ d'Orly évoque sur son site internet les deux types de masques, chirurgical ou en tissu lavable, sans en privilégier un par rapport à un autre.
Quant à Corsair et Air Austral qui ont repris le rythme, elles ne précisent pas le type de masques dans leurs recommandations avant embarquement. Elles demandent "le port d'un masque facial". Corsair insiste même auprès des voyageurs pour le changer toutes les 4 heures.
Depuis lundi, le port du masque est devenu obligatoire dans les lieux publics clos pour enrayer une reprise de l'épidémie de coronavirus, et pourra même valoir une amende de 135 euros en cas d'infraction.
Si le gouvernement a plafonné le prix du masque chirurgical à 95 centimes d'euros, "cela peut représenter effectivement pour des familles un coût important", a reconnu ce mardi matin Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie, soulignant que les entreprises et les administrations équipaient déjà leurs salariés.
Toute personne de 11 ans ou plus porte, à bord des aéronefs effectuant du transport public à destination, en provenance ou à l'intérieur du territoire national, dès l'embarquement, un masque de type chirurgical à usage unique.
Air France l'applique déjà depuis le 3 juin. La compagnie nationale qui assure actuellement une rotation quotidienne entre Paris-Charles de Gaulle et La Réunion affiche depuis un mois sur les réseaux sociaux les bonnes pratiques sanitaires pour un voyage en toute sérénité. Le masque doit donc être conservé "en permanence à bord des avions", "en dehors des temps de repas à bord". Pourtant, les masques en tissu dits "grands publics" constituent une alternative fiable aux masques chirurgicaux, à condition de bien les entretenir au moment du lavage. Mais pour le gouvernement et la majorité des compagnies aériennes, les masques chirurgicaux sont les plus sûrs.
De son côté French Bee qui propose des vols vers Saint-Denis au départ d'Orly évoque sur son site internet les deux types de masques, chirurgical ou en tissu lavable, sans en privilégier un par rapport à un autre.
Quant à Corsair et Air Austral qui ont repris le rythme, elles ne précisent pas le type de masques dans leurs recommandations avant embarquement. Elles demandent "le port d'un masque facial". Corsair insiste même auprès des voyageurs pour le changer toutes les 4 heures.
Depuis lundi, le port du masque est devenu obligatoire dans les lieux publics clos pour enrayer une reprise de l'épidémie de coronavirus, et pourra même valoir une amende de 135 euros en cas d'infraction.
Si le gouvernement a plafonné le prix du masque chirurgical à 95 centimes d'euros, "cela peut représenter effectivement pour des familles un coût important", a reconnu ce mardi matin Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie, soulignant que les entreprises et les administrations équipaient déjà leurs salariés.