La liberté d’expression est très encadrée dans l’île sœur. Une dizaine d’internautes a été interpellée par les inspecteurs de la Cybercrime pour avoir tenu des propos tendancieux sur Facebook.
Des internautes mauriciens ont été placés en garde à vue, ce lundi 8 Septembre 2015 vers 16h30, dans les bureaux de la Cybercrime de Maurice. Ils sont entendus pour avoir : « proféré des menaces jugées racistes ou fait des commentaires déplacés sur Facebook notamment ».
A l’issue de ces auditions, les « cybercriminels » seront : « traduits en cours de Port-Louis, aujourd’hui ».
D’après l’express de Maurice qui relais cette information, les suspects seraient les auteurs auraient publié sur leurs murs : « des commentaires à caractère raciste ». En réaction, d’autres surfeurs du web ont décoré les pages licencieuses et posté des écrits sur la paix sociale et le respect des religions.
Des profanations de lieux de culte
Si les beaucoup de hauts dignitaires mauriciens saluent cette réaction ferme et rapide des autorités, d’autres demandent que cette fermeté soit accompagnée d’un vrai dialogue.
Les premiers à demander de la mesure sont les membres du conseil des religions. Ils ont réitéré leur engagement pour éviter tout dérapage et promouvoir la paix sociale.
Les écrits diffamants et racistes seraient consécutifs à plusieurs profanations de lieux de cultes, de différentes religions, sur l’île sœur.
A l’issue de ces auditions, les « cybercriminels » seront : « traduits en cours de Port-Louis, aujourd’hui ».
D’après l’express de Maurice qui relais cette information, les suspects seraient les auteurs auraient publié sur leurs murs : « des commentaires à caractère raciste ». En réaction, d’autres surfeurs du web ont décoré les pages licencieuses et posté des écrits sur la paix sociale et le respect des religions.
Des profanations de lieux de culte
Si les beaucoup de hauts dignitaires mauriciens saluent cette réaction ferme et rapide des autorités, d’autres demandent que cette fermeté soit accompagnée d’un vrai dialogue.
Les premiers à demander de la mesure sont les membres du conseil des religions. Ils ont réitéré leur engagement pour éviter tout dérapage et promouvoir la paix sociale.
Les écrits diffamants et racistes seraient consécutifs à plusieurs profanations de lieux de cultes, de différentes religions, sur l’île sœur.