Un an après sa dernière visite chez nous, Jean-Michel Blanquer revient pour se rendre compte sur le terrain des effets des réformes engagées ces dernières années, surtout depuis le vote, en juillet dernier, de la loi sur l’école de la confiance.
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Des réformes de la maternelle au lycée pour tenter de réduire les inégalités scolaires et préparer au mieux les élèves à la réussite.
Il s’agira d’abord pour le ministre de l’éducation nationale de vérifier la multiplication des classes dédoublées au CP et en CE1 avec des effectifs à 12 élèves en zone d’éducation prioritaire. D’échanger avec eux et avec leurs enseignants pour savoir si l’objectif de maîtrise des savoirs fondamentaux « lire, écrire, compter et respecter autrui » porte ses fruits.
Jean-Michel Banquer pourra aussi constater la mise en place du service public de l’école inclusive avec l’accompagnement renforcé et adapté pour les élèves en situation de handicap. Ce voyage sera aussi l’occasion de voir comment les établissements se sont organisés pour mettre en place notamment les rythmes scolaires, les petits déjeuners ou encore le dispositif devoirs faits au collège.
Mais le ministre de l’éducation nationale ne manquera pas d’être interpellé par les syndicats d’enseignants qu’il doit rencontrer lundi après-midi au rectorat. Des syndicats qui estiment toujours que le compte n’y est pas en terme de moyens et de postes, qui dénoncent des surcharges de classes avant les CP et après le CE1 et qui demeurent inquiets avec la réforme des lycées et Parcoursup qualifié de fiasco.
Reste à savoir maintenant si Jean-Michel Blanquer réussira à rassurer et à convaincre.
Il s’agira d’abord pour le ministre de l’éducation nationale de vérifier la multiplication des classes dédoublées au CP et en CE1 avec des effectifs à 12 élèves en zone d’éducation prioritaire. D’échanger avec eux et avec leurs enseignants pour savoir si l’objectif de maîtrise des savoirs fondamentaux « lire, écrire, compter et respecter autrui » porte ses fruits.
Jean-Michel Banquer pourra aussi constater la mise en place du service public de l’école inclusive avec l’accompagnement renforcé et adapté pour les élèves en situation de handicap. Ce voyage sera aussi l’occasion de voir comment les établissements se sont organisés pour mettre en place notamment les rythmes scolaires, les petits déjeuners ou encore le dispositif devoirs faits au collège.
Mais le ministre de l’éducation nationale ne manquera pas d’être interpellé par les syndicats d’enseignants qu’il doit rencontrer lundi après-midi au rectorat. Des syndicats qui estiment toujours que le compte n’y est pas en terme de moyens et de postes, qui dénoncent des surcharges de classes avant les CP et après le CE1 et qui demeurent inquiets avec la réforme des lycées et Parcoursup qualifié de fiasco.
Reste à savoir maintenant si Jean-Michel Blanquer réussira à rassurer et à convaincre.