Après une matinée de blocage, les choses semblent bouger ce samedi 17 novembre. Alors que les Gilets Jaunes quittent l’entrée Ouest de la Route du Littoral pour rejoindre le Barachois, à Saint-Benoît et dans d'autres communes la situation se tend.
Depuis tôt ce samedi matin, de nombreux manifestants sont mobilisés à travers l’île. Les actions se sont multipliées puis coordonnées, mais semblent désormais évoluer. Alors que de nouveaux points de blocage apparaissent dans les villes, au Chaudron à Saint-Denis par exemple, d’autres prennent fin.
Ainsi, les Gilets Jaunes, rassemblés à la sortie du tunnel à l’entrée Ouest de la Route du Littoral, quittent les lieux. Ils sont donc près de 200 à se diriger vers la préfecture, en opération escargot, des dizaines de voitures dans leur dos. Ils se déplacent ainsi au niveau du Barachois, où ils devraient maintenir leur mobilisation.
Entre temps, certains passagers des voitures bloquées, ayant un avion à prendre, ont préféré traverser le chef-lieu à pied, dans l’espoir de rejoindre l’aéroport de Gillot à temps.
Au rond-point de l'aéroport de Gillot, à Sainte-Marie, les Gilets Jaunes envisagent au contraire de maintenir le barrage cette nuit. Les difficultés pourraient donc se poursuivre pour ceux qui doivent voyager ce samedi 17 novembre au soir ou demain, dimanche 18 novembre.
En milieu d'après-midi, les Gilets Jaunes postés sur le rond-point de Saint-Anne ont été rejoins par des agriculteurs.
Si d'une manière générale, l'ambiance reste cordiale sur les zones de barrage, des débordements sont parfois observés. Ainsi, à Saint-Benoît, l'atmosphère était plutôt tendue à la mi-journée. Sur le pont de la Rivière-des-Marsouins, les gendarmes ont du intervenir pour apaiser les tensions.
Épargnés ce matin, l'intérieur des villes n'échappe désormais plus aux barrages. A Saint-Denis, des blocages ont été mis en place à l'entrée du Chaudron notamment. Là les manifestants arborent encore des Gilets Jaunes. Plus loin en revanche, les gilets se font moins nombreux et l'attitude est moins pacifique. Feux de poubelles, jets de galets font leur apparition dans le quartier et au niveau du Boulevard Sud.
Levée du barrage à la sortie de la Route du Littoral
Ainsi, les Gilets Jaunes, rassemblés à la sortie du tunnel à l’entrée Ouest de la Route du Littoral, quittent les lieux. Ils sont donc près de 200 à se diriger vers la préfecture, en opération escargot, des dizaines de voitures dans leur dos. Ils se déplacent ainsi au niveau du Barachois, où ils devraient maintenir leur mobilisation.
Entre temps, certains passagers des voitures bloquées, ayant un avion à prendre, ont préféré traverser le chef-lieu à pied, dans l’espoir de rejoindre l’aéroport de Gillot à temps.
Maintien du barrage à Gillot
Au rond-point de l'aéroport de Gillot, à Sainte-Marie, les Gilets Jaunes envisagent au contraire de maintenir le barrage cette nuit. Les difficultés pourraient donc se poursuivre pour ceux qui doivent voyager ce samedi 17 novembre au soir ou demain, dimanche 18 novembre.
A Sainte-Anne, les agriculteurs se joignent au mouvement
En milieu d'après-midi, les Gilets Jaunes postés sur le rond-point de Saint-Anne ont été rejoins par des agriculteurs.
Des débordements du côté de Saint-Benoît
Si d'une manière générale, l'ambiance reste cordiale sur les zones de barrage, des débordements sont parfois observés. Ainsi, à Saint-Benoît, l'atmosphère était plutôt tendue à la mi-journée. Sur le pont de la Rivière-des-Marsouins, les gendarmes ont du intervenir pour apaiser les tensions.
La tension monte au Chaudron
Épargnés ce matin, l'intérieur des villes n'échappe désormais plus aux barrages. A Saint-Denis, des blocages ont été mis en place à l'entrée du Chaudron notamment. Là les manifestants arborent encore des Gilets Jaunes. Plus loin en revanche, les gilets se font moins nombreux et l'attitude est moins pacifique. Feux de poubelles, jets de galets font leur apparition dans le quartier et au niveau du Boulevard Sud.