Le cyclone Idai frappe le Mozambique depuis le début du mois de mars 2019. Les autorités du pays comptabilisent déjà au moins 170 morts et 150 000 sinistrés. Des pluies diluviennes s'abattent sans discontinuer sur la région de Beira. Région de 1,6 millions d'habitants, située en bordure du canal.
Il est encore trop tôt pour évaluer l'ensemble des dégâts engendrés par le cyclone Idai, mais ils sont considérables. Humainement, déjà, imaginez, les autorités mozambicaines parlent de 170 morts, 111 blessés, 17 000 déplacés et 140 000 sinistrés. La ville de Béria, l'une des plus grandes du pays (500 000 habitants) a été directement touchée par le phénomène. Les services météorologiques estiment que des vents de 180 à 190 km/h ont balayé la région. Il est très compliqué de circuler et de venir en aide à la population. Il est donc trop tôt pour faire un bilan.
Les maisons, les rues et les infrastructures des villes côtières de Beira et Chindé ont été sévèrement touchées par ces tempêtes cycloniques confirme un responsable mozambicain de l'institut national de la gestion des catastrophes à l'AFP, qui s'inquiète : "Nous n'avons plus aucune communication avec Beira. Il y a des poteaux, des arbres arrachés".
La masse nuageuse a noyé le Mozambique. On ne compte plus les villages qui sont sous les eaux. Idai, n'est plus un cyclone depuis samedi, mais si les vents sont moins violents, les pluies restent torrentielles. La masse nuageuse a traversé le pays pour entrer au Zimbabwe où, là aussi, la population doit se protéger des crues, soudaines, des cours d'eau.
Le Mozambique est l'un des pays les plus pauvres du monde. Le programme alimentaire mondial de l'ONU a été alerté. Un avion va acheminer 20 tonnes d'aide alimentaire écrit msn.com.
La plate-forme d’intervention régionale PIROI de La Croix -Rouge contribue au opérations d’assistance et 3 000 kits de reconstruction de l’habitat et 6 000 bâches seront déployés de l’entrepôt de La Réunion dès demain pour être envoyés au plus vite au Mozambique.
Ce premier envoi de près de 60 tonnes de matériel humanitaire pourrait être complété par d’autres actions en fonction des résultats des évaluations de terrain attendues dans les prochains jours.
La PIROI est à la recherche de partenaires pour contribuer au financement des opérations en faveur des populations sinistrées.
Aucune liaison avec les villes côtières
Redoutant l'arrivée du météore, les dirigeants avaient ordonné le déplacement des populations les plus menacées, mais cette précaution s'est avérée insuffisante face à la violence d'Idai.Les maisons, les rues et les infrastructures des villes côtières de Beira et Chindé ont été sévèrement touchées par ces tempêtes cycloniques confirme un responsable mozambicain de l'institut national de la gestion des catastrophes à l'AFP, qui s'inquiète : "Nous n'avons plus aucune communication avec Beira. Il y a des poteaux, des arbres arrachés".
L'eau recouvre le pays sur des centaines de kilomètres
La masse nuageuse a noyé le Mozambique. On ne compte plus les villages qui sont sous les eaux. Idai, n'est plus un cyclone depuis samedi, mais si les vents sont moins violents, les pluies restent torrentielles. La masse nuageuse a traversé le pays pour entrer au Zimbabwe où, là aussi, la population doit se protéger des crues, soudaines, des cours d'eau.
Le Mozambique est l'un des pays les plus pauvres du monde. Le programme alimentaire mondial de l'ONU a été alerté. Un avion va acheminer 20 tonnes d'aide alimentaire écrit msn.com.
Desk
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La plate-forme d’intervention régionale PIROI de La Croix -Rouge contribue au opérations d’assistance et 3 000 kits de reconstruction de l’habitat et 6 000 bâches seront déployés de l’entrepôt de La Réunion dès demain pour être envoyés au plus vite au Mozambique.
Ce premier envoi de près de 60 tonnes de matériel humanitaire pourrait être complété par d’autres actions en fonction des résultats des évaluations de terrain attendues dans les prochains jours.
La PIROI est à la recherche de partenaires pour contribuer au financement des opérations en faveur des populations sinistrées.