A l'initiative de la romancière Isabelle Kichenin, des femmes victimes de violences intrafamiliales ont participé à l'écriture d'un livre intitulé « Nos vérités ». Une démarche de reconstruction forte.
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La demande avait également été formulée par l'Observatoire Réunionnais des Violences Faites aux Femmes. Il s'agissait d'écrire pour des femmes puissent apporter leur soutiens à d'autres femmes également victimes de violences intrafamiliales.
Pendant 8 semaines, ces femmes ont participé à des ateliers d’écriture à l’initiative de la romancière Isabelle Kichenin. Ecrire les violences intrafamiliales qu’elles ont subies n’était pas forcément évident. Mais les échanges qu’elles ont eus entre elles ont contribué à leur démarche de reconstruction. "Même si les faits sont durs, il y a beaucoup d'humanité et de poésie dans leurs textes" estime Isabelle Kichenin.
L’écrivaine Isabelle Kichenin était au micro la 1ère de Nadine Bachelot :
Parmi les récits que l'on peut retrouver dans « Nos vérités », celui de Camille. Victime de violences intrafamiliales lorsqu'elle était enfant, elle les a également subies une fois adulte.
Elle témoigne au micro de Nadine Bachelot :
Une démarche de reconstruction
Pendant 8 semaines, ces femmes ont participé à des ateliers d’écriture à l’initiative de la romancière Isabelle Kichenin. Ecrire les violences intrafamiliales qu’elles ont subies n’était pas forcément évident. Mais les échanges qu’elles ont eus entre elles ont contribué à leur démarche de reconstruction. "Même si les faits sont durs, il y a beaucoup d'humanité et de poésie dans leurs textes" estime Isabelle Kichenin.Le monde d'aujourd’hui a besoin a vraiment besoin d‘accorder la juste place à sa part féminine, à sa part sensible et l’entraide entre les femmes y contribuera.
L’écrivaine Isabelle Kichenin était au micro la 1ère de Nadine Bachelot :
Interview d'Isabelle Kichenin
Parmi les récits que l'on peut retrouver dans « Nos vérités », celui de Camille. Victime de violences intrafamiliales lorsqu'elle était enfant, elle les a également subies une fois adulte.
Ca m'a apporté une confiance en moi, en trouvant les mots justes pour dire les choses que peut-être même je ne m'étais jamais dit à moi-même. On ressent de la honte quand on est maltraitée, il faut absolument que cette honte change de camp.
Elle témoigne au micro de Nadine Bachelot :
Témoignage Camille