L'entreprise Egis, chargée du chantier de la NRL a signé ce mardi 20 mars 2018 l’ordre de service MT5.2, à savoir le document qui lance les travaux de la route-digue entre la Grande Chaloupe et La Possession. Encore faut-il résoudre le problème d’approvisionnement en roches massives.
Les travaux du dernier tronçon de la NLR vont-ils débuter dans les prochaines semaines ? Rien n’est moins sûr car faute d’approvisionnement du chantier en matériau, on voit mal comment entamer cette route de 4,6kms gagnée sur la mer entre la Grande-Chaloupe et la Possession.
Pourtant, le maître d’œuvre Egis a officialisé ce mardi l’ordre de service autorisant les entreprises à commencer les travaux. Alors certes, le groupement peut d’ores et déjà compter sur un stock de 400 000 tonnes d’andains identifiés. Mais c’est loin d’être suffisant.
Des galets il y en a mais…
La Réunion est en situation de pouvoir fournir suffisamment de roches et de galets nécessaires à la poursuite de ce chantier. Mais le maître d’œuvre et le maître d’ouvrage restent suspendus aux autorisations d’exploitation de carrières. Des procédures réglementaires et environnementales qui ont pris beaucoup de retard notamment suite à une décision du Conseil d’Etat, en date du 6 décembre 2017, remettant en cause l’autorité environnemental des préfets régionaux. Voilà qui tombe mal pour le chantier de la Nouvelle Route du Littoral car cette décision remet ainsi en question les avis que les préfets ont pu prendre, notamment en ce qui concerne l’ouverture des carrières de roches massives.
Pour rappel, le 31 juillet 2017, le préfet de La Réunion, Amaury de Saint-Quentin, avait signé un arrêté autorisant l’ouverture de la carrière de Bois Blanc à St-Leu, qualifiant le projet d'intérêt général (PIG).
Pourtant, le maître d’œuvre Egis a officialisé ce mardi l’ordre de service autorisant les entreprises à commencer les travaux. Alors certes, le groupement peut d’ores et déjà compter sur un stock de 400 000 tonnes d’andains identifiés. Mais c’est loin d’être suffisant.
Des galets il y en a mais…
La Réunion est en situation de pouvoir fournir suffisamment de roches et de galets nécessaires à la poursuite de ce chantier. Mais le maître d’œuvre et le maître d’ouvrage restent suspendus aux autorisations d’exploitation de carrières. Des procédures réglementaires et environnementales qui ont pris beaucoup de retard notamment suite à une décision du Conseil d’Etat, en date du 6 décembre 2017, remettant en cause l’autorité environnemental des préfets régionaux. Voilà qui tombe mal pour le chantier de la Nouvelle Route du Littoral car cette décision remet ainsi en question les avis que les préfets ont pu prendre, notamment en ce qui concerne l’ouverture des carrières de roches massives.
Pour rappel, le 31 juillet 2017, le préfet de La Réunion, Amaury de Saint-Quentin, avait signé un arrêté autorisant l’ouverture de la carrière de Bois Blanc à St-Leu, qualifiant le projet d'intérêt général (PIG).