Un Sud-Africain a été interpellé à l'aéroport de Plaisance à l'île Maurice, vendredi dernier, avec 830 grammes de cannabis, dissimulés dans des friandises. Les douaniers ont saisi 22 sachets de drogue dans les bagages du suspect.
Le Sud-Africain appréhendé en fin de semaine dernière par les douaniers mauriciens est un habitué de l'île sœur. Officiellement, il s'y rend pour effectuer des affaires. Pourtant, depuis la découverte dans ses valises de 830 grammes de cannabis qui était dissimulé dans des friandises chocolatés, les forces de l'ordre s'interrogent sur le type d'affaires qu'effectue le voyageur.
Le business man a expliqué sans difficulté qu'il avait acheté les friandises dans son pays avant de partir, pour sa consommation personnelle. En analysant les bonbons en question, le Forensic Science Laboratory (FSL) a découvert que les chocolats contenaient de la marijuana.
Des bonbons pour cacher la drogue
La marchandise dont la valeur est estimée à 400 euros a été saisie. Le Sud-Africain, spécialiste du commerce de l'or semblait de bonne-foi en soulignant qu'il n'avait pas l'intention de revendre sa marchandise sur place. Il a d'ailleurs fourni toutes les informations sur le restaurant où il achète ses sucreries depuis plusieurs mois, déjà. Les autorités mauriciennes restent méfiantes et attendent d'avoir toutes les informations avant de se prononcer, surtout que selon notre confrère defimedia.info l'utilisation des confiseries et des bonbons se la nouvelle tendance en Europe pour faire voyager la drogue.
Le business man a expliqué sans difficulté qu'il avait acheté les friandises dans son pays avant de partir, pour sa consommation personnelle. En analysant les bonbons en question, le Forensic Science Laboratory (FSL) a découvert que les chocolats contenaient de la marijuana.
Des bonbons pour cacher la drogue
La marchandise dont la valeur est estimée à 400 euros a été saisie. Le Sud-Africain, spécialiste du commerce de l'or semblait de bonne-foi en soulignant qu'il n'avait pas l'intention de revendre sa marchandise sur place. Il a d'ailleurs fourni toutes les informations sur le restaurant où il achète ses sucreries depuis plusieurs mois, déjà. Les autorités mauriciennes restent méfiantes et attendent d'avoir toutes les informations avant de se prononcer, surtout que selon notre confrère defimedia.info l'utilisation des confiseries et des bonbons se la nouvelle tendance en Europe pour faire voyager la drogue.
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