46 travailleuses malgaches ont été rapatriées, ce samedi, du Koweit et 76 autres sont arrivées dans la journée de dimanche. Ces femmes de ménage, garde d'enfant, ont vécu l'enfer. Abusées physiquement, elles s'étaient réfugiées dans des ambassades africaines, pour lancer un SOS.
Elles ont subi des violences physiques, psychiques et, sans nul doute, sexuelles. Ces dernières années, des centaines de jeunes femmes malgaches ont quitté leur pays pour travailler au Koweit. Elles fuyaient la misère quotidienne pour s'engager dans les riches demeures de cet état de la péninsule arabique.
Très rapidement, elles ont vécu un véritable calvaire. Les femmes de ménage, gardes d'enfants, cuisinières, lingères étaient victimes de maltraitances quotidiennes.
Victimes d'agression physiques de la part des autres employés et de leur patron, elles n'avaient plus qu'une solution, fuir ! C'est ce qu'elles ont été obligées de faire pour préserver leur vie. La grande majorité des 122 victimes qui sont de retour dans leur pays n'avait pas d'autre choix. Elles ont trouvé refuge auprès d'une ambassade d'un pays africain ou dans les bureaux de la police koweïtienne. Alerté, dès sa prise de fonction, Andry Rajoelina, le président de la République, est intervenu personnellement dans ce dossier auprès des autorités koweïtiennes.
Les services du ministère de la décentralisation sont mobilisés pour aider les jeunes femmes à rentrer dans leurs villages. Elles viennent parfois d'endroits très enclavés. Il leur faudra plusieurs jours, voire semaines, pour retrouver leurs familles.
À leur arrivée, toutes ont été prises en charge par les services médicaux afin de faire le point sur leur état de santé. Pendant le week-end, elles ont été invitées par le chef de l'Etat au palais d'Iavaloha pour témoigner directement avec le président des maltraitances et autres sévices, écrit madagascar-tribune.com.
Très rapidement, elles ont vécu un véritable calvaire. Les femmes de ménage, gardes d'enfants, cuisinières, lingères étaient victimes de maltraitances quotidiennes.
122 femmes rapatriées pendant le week-end
Victimes d'agression physiques de la part des autres employés et de leur patron, elles n'avaient plus qu'une solution, fuir ! C'est ce qu'elles ont été obligées de faire pour préserver leur vie. La grande majorité des 122 victimes qui sont de retour dans leur pays n'avait pas d'autre choix. Elles ont trouvé refuge auprès d'une ambassade d'un pays africain ou dans les bureaux de la police koweïtienne. Alerté, dès sa prise de fonction, Andry Rajoelina, le président de la République, est intervenu personnellement dans ce dossier auprès des autorités koweïtiennes.
Raccompagnées chez-elles
Les services du ministère de la décentralisation sont mobilisés pour aider les jeunes femmes à rentrer dans leurs villages. Elles viennent parfois d'endroits très enclavés. Il leur faudra plusieurs jours, voire semaines, pour retrouver leurs familles.
À leur arrivée, toutes ont été prises en charge par les services médicaux afin de faire le point sur leur état de santé. Pendant le week-end, elles ont été invitées par le chef de l'Etat au palais d'Iavaloha pour témoigner directement avec le président des maltraitances et autres sévices, écrit madagascar-tribune.com.