Ce dimanche 1er juillet, des procès-verbaux ont été dressés contre 6 restaurants de la plage de l’Ermitage, à la demande du préfet de La Réunion. Les autorisations d’occupation temporaire ont en effet expirées samedi 30 juin à minuit.
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L’ultimatum a expiré. Depuis ce dimanche 1er juillet, les restaurateurs de la plage de l’Ermitage n’ont plus d’autorisations d’occupation temporaire du domaine public maritime. Pourtant ce matin, les établissements ont bien ouvert, malgré la demande du préfet, par un courrier du 30 avril dernier, de libérer les lieux à la date prévue en les remettant dans leur état initial.
Dans la matinée, deux agents assermentés de la DEAL, accompagnés des gendarmes, sont donc venus prendre des photos pour constater l’ouverture des 6 établissements concernés. Des procès-verbaux de grande voirie ont alors été dressés à la demande du préfet de La Réunion. Ils seront notifiés aux contrevenants pour qu'ils puissent faire part de leurs observations et seront ensuite transmis au tribunal administratif.
Dans l’attente d’une décision de justice, les responsables des paillotes ont préféré continuer à accueillir leur clientèle, passé la date du 1er juillet. Ces derniers ont en effet assigné l’Etat devant le tribunal de grande instance avant l’échéance légale, mais l’affaire a été renvoyée devant le tribunal administratif et la décision ainsi reportée au 5 juillet. Retrouvez leurs réactions dans le journal TV de 19h de Réunion la 1ère.
A l'annonce de la décision du préfet pour faire cesser l'activité des restaurateurs, les opposants, à savoir le Collectif de Défense du Domaine Public Maritime et le Kolektif Union Rényoné Résponsab, ont réagit sur les réseaux sociaux.
Dans la matinée, deux agents assermentés de la DEAL, accompagnés des gendarmes, sont donc venus prendre des photos pour constater l’ouverture des 6 établissements concernés. Des procès-verbaux de grande voirie ont alors été dressés à la demande du préfet de La Réunion. Ils seront notifiés aux contrevenants pour qu'ils puissent faire part de leurs observations et seront ensuite transmis au tribunal administratif.
Dans l’attente d’une décision de justice, les responsables des paillotes ont préféré continuer à accueillir leur clientèle, passé la date du 1er juillet. Ces derniers ont en effet assigné l’Etat devant le tribunal de grande instance avant l’échéance légale, mais l’affaire a été renvoyée devant le tribunal administratif et la décision ainsi reportée au 5 juillet. Retrouvez leurs réactions dans le journal TV de 19h de Réunion la 1ère.
A l'annonce de la décision du préfet pour faire cesser l'activité des restaurateurs, les opposants, à savoir le Collectif de Défense du Domaine Public Maritime et le Kolektif Union Rényoné Résponsab, ont réagit sur les réseaux sociaux.