L’agression d’un professeur à Créteil, le 18 octobre dernier, fait réagir sur les réseaux sociaux. Le hastag "Pas de vague" est devenu viral. A La Réunion aussi, la parole des enseignants se libère.
Les violences à l’encontre des professeurs ne sont pas nouvelles, mais sont bien souvent tues. Pourtant, après le braquage d’une professeure en plein cours dans un lycée de Créteil, le 18 octobre dernier, la parole semble s’être libérée.
Le hastag "Pas de vague" apparu sur twitter est devenu viral. Nombreux sont ainsi les enseignants qui osent dénoncer les faits dont ils sont victimes mais aussi et surtout l’attitude de leur hiérarchie face aux violences dont ils sont victimes.
La Réunion n’est pas épargnée. Les professeurs y vivent aussi ce genre de difficultés. Nadia Tayama et Laurent Figon ont recueillis les confessions édifiantes d’une enseignante. Voici son témoignage.
Depuis quelques jours, les témoignages comme celui-ci affluent. Un malaise ressenti par toute la communauté des enseignants, et révélateur de l’envers du décor qui existe depuis longtemps dans les établissements scolaires, selon les syndicats. Grâce à Twitter, certains peuvent ainsi s’exprimer, des cris du cœur libérateurs pour ces professeurs-tweetos.
Le reportage de Delphine Poudroux et Philippe Hoareau.
Le hastag "Pas de vague" apparu sur twitter est devenu viral. Nombreux sont ainsi les enseignants qui osent dénoncer les faits dont ils sont victimes mais aussi et surtout l’attitude de leur hiérarchie face aux violences dont ils sont victimes.
La Réunion n’est pas épargnée. Les professeurs y vivent aussi ce genre de difficultés. Nadia Tayama et Laurent Figon ont recueillis les confessions édifiantes d’une enseignante. Voici son témoignage.
Depuis quelques jours, les témoignages comme celui-ci affluent. Un malaise ressenti par toute la communauté des enseignants, et révélateur de l’envers du décor qui existe depuis longtemps dans les établissements scolaires, selon les syndicats. Grâce à Twitter, certains peuvent ainsi s’exprimer, des cris du cœur libérateurs pour ces professeurs-tweetos.
Le reportage de Delphine Poudroux et Philippe Hoareau.