Les forces de l’ordre poursuivent les contrôles dans les établissements recevant du public. Ce samedi en fin d’après-midi, une opération est menée au centre commercial Sacré Cœur au Port. Respect des protocoles sanitaires, gestes barrières ou encore port du masque sont passés en revue.
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Il y a une semaine, le préfet de La Réunion donnait l’alerte et appelait les Réunionnais au bon respect des gestes barrières et au port du masque pour lutter contre la circulation du coronavirus. Jacques Billant prévenait alors de la mise en place d’une stratégie de renforcement des contrôles et de durcissement des sanctions.
Hier, vendredi 20 novembre, les autorités annonçaient qu’elles continueraient à maintenir la pression sur les établissements recevant du public. La situation reste contrastée dans le département, ont elles annoncé.
Depuis le 6 novembre, 10 000 contrôles ont ainsi été réalisés. 563 personnes ont ainsi été verbalisées pour non-port du masque. 144 établissements recevant du public ont été mis en demeure sur l’ensemble du département et 11 ont été fermés, ou sont en cours de fermeture, indiquait-elle également.
Des contrôles au cours desquels les policiers s’assurent du bon respect des protocoles sanitaires mis en place. Respect des gestes barrières, port du masque des clients et des employés, distanciation sociale et jauge maximale d'accueil sont ainsi passés en revue. Une vingtaine d'agents sont mobilisés sur cette opération. En moyenne, ils en réalisent une par semaine dans ce lieu de grande affluence.
90 établissements recevant du public doivent être contrôlés ce samedi. Une dame a été verbalisée pour avoir essayé des chaussures le masque baissé sur son menton. Un jeune a lui été sanctionné car il ne portait pas le masque alors qu'il buvait une boisson debout, "il faut être assis pour mager ou boire, c'est obligatoire", sa mère est outrée. La sanction : une amende de135 euros pour chacun.
Dans deux restaurants de la galerie, les cahiers recensant les clients présents étaient soit absent soit pas à jour. Un simple rappel à l'orde a été formulé, car pour le sous-préfet, qui participe à l'opération, " l'idée, ce n'est pas de sanctionner, c'est de faire en sorte que le dispositif fonctionne ". Ils échappent ainsi à l'amende de 135 euros également. Trois autres restaurants du food court ont eux écopés d'une mises en demeure. Au total, 8 établissements de restauration ont été mis en demeure pour non-respect du fameux cahier.
Au Port, 1 100 contrôles ont été réalisés depuis la prise de l'arrêté préfectoral. Certains lieux ont été contrôlés à plusieurs reprises. Une vingtaine de mise en demeure ont été émises, 3 fermetures administratives prononcées après mise en demeure.
Hier, vendredi 20 novembre, les autorités annonçaient qu’elles continueraient à maintenir la pression sur les établissements recevant du public. La situation reste contrastée dans le département, ont elles annoncé.
Verbalisations, mises en demeure et fermetures
Les contrôles se sont alors multipliés dans les bars, restaurants, boutiques et supermarchés. Hier, lors d’un point sur les mesures de lutte en préfecture, la directrice de cabinet du préfet en donnait les chiffres.Depuis le 6 novembre, 10 000 contrôles ont ainsi été réalisés. 563 personnes ont ainsi été verbalisées pour non-port du masque. 144 établissements recevant du public ont été mis en demeure sur l’ensemble du département et 11 ont été fermés, ou sont en cours de fermeture, indiquait-elle également.
Les centres commerciaux n’y échappent pas
Ce samedi 21 novembre en fin d’après-midi, les forces de l’ordre étaient déployées au centre commercial Sacré Cœur au Port. Ce n’est pas la première fois, que les centres commerciaux font l’objet de ce type de contrôles.Des contrôles au cours desquels les policiers s’assurent du bon respect des protocoles sanitaires mis en place. Respect des gestes barrières, port du masque des clients et des employés, distanciation sociale et jauge maximale d'accueil sont ainsi passés en revue. Une vingtaine d'agents sont mobilisés sur cette opération. En moyenne, ils en réalisent une par semaine dans ce lieu de grande affluence.
90 établissements recevant du public doivent être contrôlés ce samedi. Une dame a été verbalisée pour avoir essayé des chaussures le masque baissé sur son menton. Un jeune a lui été sanctionné car il ne portait pas le masque alors qu'il buvait une boisson debout, "il faut être assis pour mager ou boire, c'est obligatoire", sa mère est outrée. La sanction : une amende de135 euros pour chacun.
Dans deux restaurants de la galerie, les cahiers recensant les clients présents étaient soit absent soit pas à jour. Un simple rappel à l'orde a été formulé, car pour le sous-préfet, qui participe à l'opération, " l'idée, ce n'est pas de sanctionner, c'est de faire en sorte que le dispositif fonctionne ". Ils échappent ainsi à l'amende de 135 euros également. Trois autres restaurants du food court ont eux écopés d'une mises en demeure. Au total, 8 établissements de restauration ont été mis en demeure pour non-respect du fameux cahier.
Au Port, 1 100 contrôles ont été réalisés depuis la prise de l'arrêté préfectoral. Certains lieux ont été contrôlés à plusieurs reprises. Une vingtaine de mise en demeure ont été émises, 3 fermetures administratives prononcées après mise en demeure.