Un homme a été interpellé la dernière nuit du confinement. Il avait subtilisé sur un chantier 58 étais métalliques pour réaliser chez lui une clôture...
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Certains ont profité des dernières heures confinement pour faire des affaires. C'est le cas de cet homme intrpellé dans la nuit du 10 mai dernier par les hommes de la BAC (Brigade anti-criminalité) du Port. Ils ont été intrigués par la présence d’une camionnette sur le chantier de construction d'un magasin de bricolage. Le véhicule présentait des plaques d’immatriculation dissimulées par de l’adhésif et du plastique.
Lors du contrôle, le conducteur, seul dans le véhicule, a reconnu avoir dérobé sur le chantier le matériel présent dans la remorque d'un camion.
Les policiers ont également découvert à bord de sa camionnette 58 étais métalliques et dans l’habitacle, une radio portative, une visseuse et une meuleuse.
Placé en garde à vue, le mis en cause a déclaré avoir rendu visite dans la soirée à un ami sur Saint-Gilles avant de se rendre au Port pour acheter un repas dans un fast-food.
Il se serait ensuite dirigé en véhicule sur le chantier juste en face afin de voler sans effraction des étais visibles depuis la route. Ce matériel lui aurait servi à édifier une clôture à son domicile. Il a ajouté avoir agi seul et ne pas avoir fait d’aller-retour entre le lieu du méfait et son domicile. Contactée par les policiers, la victime, qui n'est autre que le responsable de la société de travaux publics GTOI a reconnu que le chantier était dépourvu de système de vidéo-surveillance. Aucune effraction n’était à déplorer.
Rappelons qu'un étai vaut 50€ pièce. Le préjudice s’élève donc à 2 900€. Le matériel de construction volé a été restitué à la société GTOI.
Lors du contrôle, le conducteur, seul dans le véhicule, a reconnu avoir dérobé sur le chantier le matériel présent dans la remorque d'un camion.
Les policiers ont également découvert à bord de sa camionnette 58 étais métalliques et dans l’habitacle, une radio portative, une visseuse et une meuleuse.
Placé en garde à vue, le mis en cause a déclaré avoir rendu visite dans la soirée à un ami sur Saint-Gilles avant de se rendre au Port pour acheter un repas dans un fast-food.
Il se serait ensuite dirigé en véhicule sur le chantier juste en face afin de voler sans effraction des étais visibles depuis la route. Ce matériel lui aurait servi à édifier une clôture à son domicile. Il a ajouté avoir agi seul et ne pas avoir fait d’aller-retour entre le lieu du méfait et son domicile. Contactée par les policiers, la victime, qui n'est autre que le responsable de la société de travaux publics GTOI a reconnu que le chantier était dépourvu de système de vidéo-surveillance. Aucune effraction n’était à déplorer.
Rappelons qu'un étai vaut 50€ pièce. Le préjudice s’élève donc à 2 900€. Le matériel de construction volé a été restitué à la société GTOI.