À l'approche de l'annonce du résultat final du premier tour de la présidentielle à Madagascar, les candidats contestent les chiffres annoncés par la Commission Électorale Nationale Indépendante. Les plus virulents sont les grands perdants, mais même les vainqueurs relèvent des incohérences.
Avant la fin du mois de novembre 2018, les Malgaches seront fixés sur les noms des deux candidats en lice pour le second tout de l'élection présidentielle. En début de semaine prochaine, la CENI (commission électorale) devrait être en possession de l'ensemble des résultats.
La tendance entrevue, en début de semaine, se confirme Andry Rajoeline et Marc Ravalomanana se détachent. Ils enregistrent respectivement 39,61 % et 34, 84 %, des 87, 96 % des bulletins de vote déjà traités.
Un retournement de situation est, donc, mathématiquement impossible.
Pourtant, ces résultats, enregistrés par la Commission Électorale Nationale Indépendante, font l'objet de vives critiques de la part de tous les candidats. Les leaders, comme les 34 perdants, soulignent des anomalies entre les résultats affichés et les PV recueillis par leurs partisans sur le terrain. "Pour mettre un terme aux rumeurs et à la campagne de dénigrement", Thierry Rakotonarivo, vice président de la CENI, a invité les plaignants à venir avec leurs fameux PV pour les comparer avec ceux reçus. Aucun des candidats n'a fait le déplacement souligne lexpressmada.com.
La tendance entrevue, en début de semaine, se confirme Andry Rajoeline et Marc Ravalomanana se détachent. Ils enregistrent respectivement 39,61 % et 34, 84 %, des 87, 96 % des bulletins de vote déjà traités.
Un retournement de situation est, donc, mathématiquement impossible.
Les candidats invités à confronter leurs résultats avec la commission
Pourtant, ces résultats, enregistrés par la Commission Électorale Nationale Indépendante, font l'objet de vives critiques de la part de tous les candidats. Les leaders, comme les 34 perdants, soulignent des anomalies entre les résultats affichés et les PV recueillis par leurs partisans sur le terrain. "Pour mettre un terme aux rumeurs et à la campagne de dénigrement", Thierry Rakotonarivo, vice président de la CENI, a invité les plaignants à venir avec leurs fameux PV pour les comparer avec ceux reçus. Aucun des candidats n'a fait le déplacement souligne lexpressmada.com.