Le secteur de la restauration peine à trouver de la main d’œuvre. Les propositions et les offres d'emploi ne manquent pourtant pas mais les candidats ne se bousculent pas aux portes des cuisines
En Métropole, le problème est récurrent. L’hôtellerie-restauration manque cruellement de bras, les entreprises ferment ou sont alors obligées de faire appel à de la main d’ouvre extérieure.
Conditions de travail difficiles, salaires peu élevés, le secteur attire de moins en moins de candidats alors " quel avenir pour nos jeunes " s'interroge Daniel Grondin, enseignant au Centhor Nord à Saint-Denis.
Le Centre de formation aux métiers de l'hôtellerie et de la restauration propose aux jeunes après la classe de 3ème plusieurs CAP : en cuisine gastronomie, en restaurant, ou en mention complémentaire dessert de restaurant. Les jeunes passent une semaine à l'école et deux autres en entreprise. " Mais beaucoup renoncent à cause des horaires ou parce que le lieu de travail est trop éloigné, ou parce que c'est trop dur ! " ajoute le formateur.
Le restaurant qu'il dirige au Centhor Nord est spécialisé en cuisine des collectivités et en tant que responsable, il dit avoir des exigences : " critères de ponctualité, tenue vestimentaire et corporelle, les jeunes manquent de sérieux " dit-il dépité.
" Il y a beaucoup de débouchés dans la restauration " ajoute Daniel Grondin qui compte sur les journées portes ouvertes du Centhor en Septembre prochain pour convaincre. " Nous allons mettre en valeur les métiers de la restauration, faire des démonstrations pour capter un maximum de candidats " ajoute celui qui après trente années de métier reste toujours aussi passionné.
Conditions de travail difficiles, salaires peu élevés, le secteur attire de moins en moins de candidats alors " quel avenir pour nos jeunes " s'interroge Daniel Grondin, enseignant au Centhor Nord à Saint-Denis.
Les jeunes manquent de motivation
Le Centre de formation aux métiers de l'hôtellerie et de la restauration propose aux jeunes après la classe de 3ème plusieurs CAP : en cuisine gastronomie, en restaurant, ou en mention complémentaire dessert de restaurant. Les jeunes passent une semaine à l'école et deux autres en entreprise. " Mais beaucoup renoncent à cause des horaires ou parce que le lieu de travail est trop éloigné, ou parce que c'est trop dur ! " ajoute le formateur.
Le restaurant qu'il dirige au Centhor Nord est spécialisé en cuisine des collectivités et en tant que responsable, il dit avoir des exigences : " critères de ponctualité, tenue vestimentaire et corporelle, les jeunes manquent de sérieux " dit-il dépité.
L'hôtellerie-restauration : un secteur qui embauche
" Il y a beaucoup de débouchés dans la restauration " ajoute Daniel Grondin qui compte sur les journées portes ouvertes du Centhor en Septembre prochain pour convaincre. " Nous allons mettre en valeur les métiers de la restauration, faire des démonstrations pour capter un maximum de candidats " ajoute celui qui après trente années de métier reste toujours aussi passionné.
Restauration : cherche main d'oeuvre désespérément