Les passagers du UU 555 d'Air Austral à destination de Tamatave restent cloués au sol. Annulé jeudi, le vol a décollé ce vendredi 28 avril 2017, mais après un quart d'heure, l'ATR a fait demi-tour pour des raisons techniques. Depuis, les 50 passagers attendent...
Les voyages peuvent parfois tourner au cauchemar. Imaginez, la galère des 50 passagers de l'ATR d'Air Austral à destination de Tamatave devant quitter l'île le jeudi 28 avril 2017 (voir document ci-dessous). L'avion devait s'envoler vers Madagascar à 9 heures. Malheureusement, pour des problèmes techniques, la compagnie régionale renonce et demande à ses clients de revenir le vendredi 28 avril 2017, pour un décollage à 7h24 (voir la capture d'écran ci-dessous).
Afin de limiter la grogne, Air Austral offre l'aller-retour en taxi.
Retour à la case départ
Le second acte, débute avant le lever du jour de ce vendredi. Comme convenu, un taxi attend devant la porte des futurs passagers. Arrivés en temps et en heure, les 50* clients embarquent dans l'ATR. A 7h24, le bimoteur s'élance et décolle. Tout va bien, enfin presque raconte l'une des 50 personnes : "J'ai vu tout de suite que nous ne prenions pas d'altitude. Après 5 minutes, le commandant de bord a signalé qu'il devait faire demi-tour pour une raison technique. Nous avons tourné un bon quart d'heure au-dessus de Saint-Denis, puis nous nous sommes posés. Maintenant que va-t'il se passer ? Nous n'avons pas la réponse"...
Afin de limiter la grogne, Air Austral offre l'aller-retour en taxi.
Retour à la case départ
Le second acte, débute avant le lever du jour de ce vendredi. Comme convenu, un taxi attend devant la porte des futurs passagers. Arrivés en temps et en heure, les 50* clients embarquent dans l'ATR. A 7h24, le bimoteur s'élance et décolle. Tout va bien, enfin presque raconte l'une des 50 personnes : "J'ai vu tout de suite que nous ne prenions pas d'altitude. Après 5 minutes, le commandant de bord a signalé qu'il devait faire demi-tour pour une raison technique. Nous avons tourné un bon quart d'heure au-dessus de Saint-Denis, puis nous nous sommes posés. Maintenant que va-t'il se passer ? Nous n'avons pas la réponse"...